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Abhayadatta – La vie merveilleuse de 84 grands sages de l’inde anciennes

Voici le récit de la vie merveilleuse de 84 mahasiddha (en sanscrit » grands accomplis « ), grands sages bouddhistes de l’Inde ancienne (VIIe-XIIe siècle). Ces sages sont particulièrement vénérés dans la tradition tantrique du bouddhisme, le
Vajrayana, car ils sont à l’origine de la diffusion de ses doctrines et de ses pratiques de méditation. Ces récits, à la manière de contes, rapportent l’essence de la pratique spirituelle de chacun de ces yogins, en liaison avec les malheurs, les craintes, l’activité quotidienne ou la nature des pensées qui les concernaient plus spécialement. Ils sont un encouragement et une source d’inspiration pour
tous ceux qui suivent un chemin spirituel, car ils rappellent que toute situation peut devenir source d’Éveil et de réalisation de soi. Recueillies par le maître indien Abhayadatta, ces histoires furent rapidement traduites en tibétain.


Albin michel (edition) – 365 conseils du bouddha


Albin michel (edition) – Les dits du bouddha – le dhammapada


Albin michel (edition) – Passerelles (entretiens avec le Dalaï Lama sur les sciences de l’ésprit)


Alexandra David-Néel – Lama aux 5 sagesses

Long et tortueux est parfois le chemin de la sagesse, même pour un enfant dont la naissance est entourée de prodiges. Lorsque Mipam vient au monde, toute la nature semble se réjouir et ses parents en conçoivent la certitude que leur fils est la réincarnation d’un grand lama. Mais, boudeur et gourmand, le garçon ne manifeste d’abord aucune aptitude particulière. Jusqu’à ce que ses rencontres amicales avec un léopard puis un sage ermite le décident à s’engager sur la voie de la religion. Dès lors, le hasard, les règles sociales du Tibet, mais aussi les lois plus incertaines de l’amour guideront les pas singuliers de Mipam, celui qui cherchait le pays où hommes et animaux vivent en paix.


Allia éditions – La voie suprême selon le yoga tibétain

Ce traité a été compilé par le successeur direct de Milarepa, le guru tibétain Dvagpo-Lharje, également nommé Gampopa, né croit-on en 1077 et mort en 1152. Sous la forme de brefs chapitres, l’ouvrage offre la quintessence de l’enseignement bouddhique : les dix causes de regret, les dix choses à accomplir, les dix choses à éviter, les dix marques d’un homme supérieur, les dix ressemblances trompeuses, etc. On retrouve ici les mêmes préceptes et les mêmes avertissements que nous ont légués d’autres traditions, et il n’est pas excessif de considérer cet ouvrage comme une introduction générale à une démarche spirituelle universelle.


Barry Catherine – Sage paroles du Dalaï Lama

» Etablir la paix à l’extérieur de soi et agir sur le monde nécessitent en premier lieu d’agir sur soi et d’établir la paix en soi. » Il est possible de réaliser le Bonheur en exerçant notre esprit. » Le Dalaï-Lama est » le Dieu vivant « , » l’Incarnation du Bouddha de la compassion » qui guide tout un peuple depuis des générations vers la conquête de la paix de l’esprit. Pour les Tibétains, » Kundun » est celui qui montre l’exemple, encourage et dit par ses actes tout autant que par ses paroles. Véritable guide de la sagesse universelle, ce livre offre, à travers les paroles du Dalaï-Lama, les réponses aux humeurs de l’âme et de l’esprit. Des paroles qu’il suffit de lire, de comprendre, de ressentir et de méditer, que l’on soit non-initié ou adepte du bouddhisme, pour trouver sa voie.


Berzin Alexander – L’initiation de Kalachakra

Kalachakra, » le roi des tantras « , vise à transcender les limites du temps cosmique et biologique, en vue de permettre l’accès direct de chacun à la condition éveillée. Ces dernières décennies, S. S. le Dalaï-Lama, et d’autres grands maîtres, ont conféré cette initiation à des foules de pratiquants. L’Initiation de Kalachahra reprend les enseignements donnés par Alexander Berzin à l’occasion de plusieurs initiations. Il y présente la théorie des tantras, les vœux , les engagements et leurs implications dans la vie quotidienne, ainsi que l’ensemble des visualisations. Il expose également la relation entre les enseignements de Kalachakra et le karma, l’astrologie et la médecine tibétaines, ainsi que les terres légendaires de Shambhala et la paix mondiale. » Avec son guide, Alexander Berzin rend un grand service à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin à l’initiation du Kalachakra. «


Blofeld John – Le bouddhisme tantrique du Tibet

Le Vajrayana, ou Véhicule de Diamant, est l’école de bouddhisme mahayaniste qui domine au Tibet et en Mongolie. Forme de mysticisme éminemment pratique, elle offre des techniques précises pour réaliser cette sagesse où l’homme voit son illusoire ego nié et entre dans la félicité de sa propre divinité (…). Je crois que le Vajrayana suscite un intérêt croissant et qu’il est certainement grand temps de dissiper les grotesques malentendus sur le bouddhisme tantrique auxquels a donné lieu la tradition de secret.


Bokar Rimpoché – Tara (l’éveil au féminin)

TARA, la » Libératrice « , est la divinité féminine du bouddhisme par excellence. A la fois personnification de la prajnaparamita (la connaissance de l’absolu) et mère attentive à protéger ses fidèles, elle est l’objet d’une dévotion profonde de tous les Tibétains : autant le peuple des nomades que les érudits dans les monastères. Bokar Rimpoché nous présente ici les différents aspects de la divinité, nous offre des témoignages contemporains sur son activité bienfaisante, retrace l’origine de son tantra et analyse la louange qui lui est dédiée. Une abondante iconographie complète l’ouvrage, notamment les représentations en couleurs des vingt et une formes de Tara.


Bokar Rimpoché – Prendre refuge

Devenir bouddhiste est un engagement concrétisé par une cérémonie : la prise de refuge. Quelle est la nécessité de cet engagement ? En qui prend-on refuge et pourquoi ? Comment se déroule le rituel ? Quels sont les préceptes qui en découlent ? Telles sont les questions auxquelles « l’aspirant » trouvera ici des réponses simples et profondes. Le tout est complété par un choix d’enseignements sur quelques points fondamentaux et par de nombreuses planches couleurs qui illustrent tous les aspects du refuge.


Bokar Rimpoché – Le vœu de Bodhisattva

Le bouddhisme du grand véhicule trouve son idéal en la personne du bodhisattva, celui qui se voue à l’obtention de l’éveil dans le but de soulager tous les êtres de leurs, souffrances. Le premier pas sur la voie de cet idéal consiste à prendre le » vœu de bodhisattva « . Le propos de ce petit livre est de présenter un exposé clair de la nature de ce vœu et de ses implications : qu’est-ce qu’un bodhisattva, qu’est-ce que la bodhichitta, à quoi engage le vœu, qui est apte à le prendre, comment se déroule la cérémonie, quels sont les préceptes qui en découlent, comment se purifier des manquements, etc. Telles sont les questions qui sont abordées ici.


Bokar Rimpoché – La journée d’un bouddhiste

C’est un fait que beaucoup de personnes, après avoir pris refuge, manquent pour leur pratique quotidienne des repères précis dont elles ressentent le besoin. Comment, lorsqu’on travaille, qu’on mène la vie ordinaire de tout un chacun, donner néanmoins à chaque journée une assise spirituelle à la fois facile à mettre en œuvre et profonde dans son application ?
Ce petit livre répond à cette question ; c’est pourquoi Bokar Rimpoché considéra comme très important qu’il soit réalisé. On n’y trouvera pas de discours, peu de considérations théoriques, mais les pratiquants sincères et motivés découvriront en lui un incomparable compagnon de route.
Au cours du voyage qu’il accomplit en Europe en 1987, Bokar Rimpoché en dicta le contenu sur cassette avec infiniment de bonté et, avec infiniment de patience, se prêta aux photographies qui l’illustrent.
Le résultat n’est pas un de ces ouvrages qui charment l’esprit par l’agrément d’un récit ou par la beauté d’une pensée, un texte qu’on lirait une fois pour le ranger soigneusement ensuite. C’est au contraire un livre destiné à être pris et repris, consulté et reconsulté encore, fermé puis rouvert cent fois, au gré des oublis de notre mémoire volatile.


Bokar Rimpoché – Un autel chez soi


Bokar Rimpotché – La méditation – conseils aux débutants

Pourquoi et comment méditer, les conditions auxilliaires, les fruits de la méditation, l’égo et les cinq poisons, la méditation dans la vie, la subjectivité, la p?rsévérance, la saveur de la méditation, la pacification mentale, la posture corporelle, les exercices, le traitement des pensées, la vision supérieure ou Lhaktong…


Bokar Rimpotché – Le soutra du cœur

Le Soutra du Cœur, qui contient moins de 30 versets, est la version la plus brève de tous les soutras de la perfection de connaissance (prajnaramita), ce qu’indique son titre qui, traduit littéralement, signifie : Cœur de la Prajnaparamita, dans lequel “cœur” transmet l’idée de quintessence.
Son propos est de remettre en cause nos croyances implicites sur l’individualité et non pas de les remplacer par d’autres concepts. Il n’affirme donc rien. Il invite en fait l’auditeur ou le lecteur à faire par lui-même l’expérience directe de ce qui est au-delà des concepts et ne peut être exprimé par les mots. Nous faisant prendre conscience de ce que nous ne sommes pas, il nous convie à découvrir ce que nous sommes.
Une première lecture du Soutra du Cœur produit souvent un effet étrange : d’une part le sentiment de recevoir comme un coup d’épée qui tranche brusquement dans la masse solidifiée de nos habitudes conceptuelles, quelque chose de très puissant et venant d’on ne sait où ; d’autre part l’impression, au-delà du choc, d’une certaine frustration intellectuelle, celle de se trouver en présence d’un mode d’expression elliptique et sibyllin dont il manque les clés.
Le bref ouvrage que nous proposons n’a d’autre prétention que de livrer ces clés (probablement pas toutes !), ce que s’attache à faire le commentaire de Bokar Rimpoché ainsi que les notes en fin de volume.
Texte tibétain, phonétique et traduction française inclus.
Un cahier de 16 pages en couleurs présente les protagonistes du soutra et le lieu où il fut énoncé.


Bokar Rimpotché – Mort et art de mourir

Bokar Rimpotché étudie ici les bardos de la mort, le suicide, la mort des grands êtres, la nature des choses, l’art de mourir sans crainte, les trois manières de mourir, comment aider les mourants, les méthodes de compassion, l’efficacité des noms des Bouddhas, des mantras et des prières ainsi que quelques techniques particulières.


Bokar Rinpoché – Tchénrézi – clés pour la méditation des divinités

Tchènrézi est l’une des divinités les plus populaires au Tibet. Qui sont ces divinités, quelles sont leurs fonctions dans le travail de transformation intérieure ? On découvre un enseignement extrêmement intéressant sur la pratique de Tchènrézi et sa continuité dans la vie quotidienne au travers des principes de compassion et de vacuité.


Brahimi Richard et Grison Guyslaine- Guide pratique du bouddhisme

Le bouddhisme existe depuis trois millénaires. Religion orientale de la vie et de la tolérance, il intrigue et passionne l’Occident au point que les conversions s’y multiplient. Amour, ascèse, incarnation, mantra, maya, zen : de A à Z, ce guide pratique du bouddhisme éclaire le vocabulaire, les rites et le fonctionnement de cette science de l’esprit. Il répond à toutes les questions que vous vous posez sur les origines et les applications modernes du bouddhisme. Qu’est-ce que la voie du Milieu ? Le tour aux Trésors ? Quels sont les trois poisons ? Les trois grands préceptes ? Le noble octuple sentier ? Les neuf grandes épreuves ? Ecole de vie et de tolérance, le bouddhisme est plus que jamais adapté aux exigences et aux besoins de l’homme moderne.


Brière Yveline – Le livre de sagesse

» Connaître les autres, c’est sagesse. Se connaître soi-même, c’est sagesse supérieure. » Lao-tseu. La sagesse, certes, est savoir-vivre. Mais comment y parvenir ? Chacun suit son chemin. L’un apprivoise une rose, Petit Prince ou simple mortel. L’autre se terre en ermite, certains gravissent des montagnes, rares sont ceux qui trouvent leur plaisir dans l’ordinaire. Pourtant il ne s’agit pas d’atteindre la perfection mais d’être, tout simplement. Soi-même. Avec soi. Avec les autres. Au mieux avec Dieu. En fait, tous le reconnaissent, poètes, philosophes, chercheurs, mystiques ou athées, la sagesse emprunte les voies du coeur… ce que dit si bien Brel : » Pourvu que nous vienne un homme Aux portes de la cité… … Qu’il ne s’agenouille pas Devant tout l’or d’un seigneur Mais parfois pour cueillir une fleur… «


Brosse Jacques – Maître Dögen

Introducteur du zen Sôtô au Japon, Dôgen Zenji est reconnu comme l’un des plus grands maître zen. Il également et cela est moins connu , un penseur universel, parmi les plus profonds. Jacques Brosse, à la foi naturaliste, ancien disciple de Maître Deshimaru et enseignant le zen , retrace la vie de ce grand Maître.


Brosse Jacques – Pratique du zen vivant

Introduit en France par le moine japonais Taisen Deshimaru dans les années soixante-dix, le bouddhisme zen reste l’un des apports les plus vivaces de l’Orient à la spiritualité occidentale. Depuis trente ans, des maîtres européens enseignent cette philosophie de la vacuité et les techniques de méditation qui la mettent en oeuvre. Jacques Brosse, auteur notamment de Zen et Occident et de l’encyclopédie L’Univers du Zen, est l’un des plus reconnus de ces maîtres. Depuis sa formation complète auprès de Taisen Deshimaru, il dirige des sesshin (sessions d’enseignement et de méditation) dans divers pays francophones. Dans La Pratique du Zen vivant : l’enseignement de l’éveil silencieux, il offre pour la première fois à lire la transcription de treize sesshin. Les intuitions des sages indiens, japonais et tibétains sont éclairées par des regards sur saint Paul, Spinoza ou encore Einstein, et les séances de discussion qui suivent chaque cours aident chacun à éclaircir les enjeux et à poursuivre la réflexion. Une façon unique de découvrir le zen tel qu’il se pratique et s’enseigne aujourd’hui, alternative ou complément idéal à la fréquentation régulière d’un centre zen.


Brunel Henri – Conte du chat maître zen

Grand adepte du bouddhisme, Henri Brunet a beaucoup appris en observant « tous les chats » qui peuplèrent sa vie. Koyabashi et Taneda, les deux matous de cette fable, sont partis en voyage vers un lointain monastère. Guidés par les quatre nobles vérités, ils méditent et progressent dans la voie du zen. Peu importe la destination, ce qu’ils apprennent en route les fait grandir.


Brunel Henri – Les plus beaux contes zen

Voici, réunis en un volume illustré, l’intégralité des 80 contes zen d’Henri Brunel, parus chez Calmann-Lévy en trois tomes en 1999,2000 et 2001. Cette édition, d’une présentation très agréable et soignée, est agrémentée d’une quarantaine d’illustrations en couleurs pleines page prises chez les maîtres de l’estampe japonaise des XVIIe et XIXe siècles. Elles expriment à merveille l’univers souvent cocasse, toujours magique, qu’Henri Brunel fait revivre avec tant de talent. Par ailleurs, d’abondantes vignettes en noir et blanc, tirées ellles aussi de l’imagerie extrême-orientale, jalonnent le livre comme autant d’appels aux rêves.


Brunel Henri – Rester zen – la méthode du chat

Restez zen est une méthode de transformation de soi qui promet liberté intérieure, contrôle et sûreté des gestes. C’est de la relaxation, du yoga, de la méditation et plus encore. Vous apprendrez : à vaincre l’insomnie, à dominer le stress, à prendre confiance en vous, à gagner une efficacité professionnelle. Henri Brunel nous débarrasse des angoisses inutiles et du manque d’estime de soi. Renforcer les sentiments de détermination, d’assurance et de maîtrise, tel est l’objet des exercices proposés par l’auteur. Ces derniers, fruits d’une longue expérience, vous conduiront vers le bien-être. Ce texte, à lire et à relire, vous apporte un réel plaisir et un parfait équilibre intérieur. Henri Brunel s’est inspiré du chat pour concevoir ces exercices de relaxation. Avec humour, il nous invite à le suivre dans ce qui est, plus qu’une méthode, une marche vers la sérénité.


Celli Nicoletta – Le bouddhisme – Fondements-pratiques-civilisations

L’histoire des arts inspirés par le bouddhisme en trois parties : fondation, textes et histoire et lieux.


Chagdud Khadro – P’owa – le transfert de la conscience

P’owa est une technique du bouddhisme tibétain permettant de transférer la conscience, au moment de la mort, dans un « champ pur ». Quitter ce monde n’est plus, dès lors, perçu comme un objet d’angoisse, mais comme l’occasion de se libérer du cycle des existences. Chagdud Khadro expose dans cet ouvrage la méthode d’apprentissage ainsi que son application au moment de la mort, tant pour soi-même que pour les autres.


Chagdud Tulkou Rinpoché – Préparer la mort – conseils spirituels – conseils pratiques

Préparer la mort est un ouvrage se situant sur deux plans : – Un plan spirituel : celui du magnifique enseignement de Chagdud Tulkou Rinpoché, qui nous présente la relation fructueuse qu’on peut établir entre la vie et la mort et les possibilités qu’offre celle-ci en termes d’Eveil. – Un plan pratique : celui des annexes, qui nous invitent à laisser des directives précises sur ce que nous voudrons pour nos derniers moments, nous guident dans la manière de le faire et nous donnent toutes les indications pratiques nécessaires.
Le résultat : une approche saine et belle de la mort dans un livre qui, s’adressant à tous – bouddhistes et non-bouddhistes – aidera certainement de très nombreuses personnes.


Chaphu Geshey – Le fou Divin, Drukpa Kunley, Yogi tantrique tibétain

Drukpa Kunley est le saint le plus populaire du Tibet. Mais par « saint », il ne faut pas entendre un moine souriant, paisible, confit en dévotion alors qu’il réciterait son chapelet. Au contraire, c’est un personnage fantasque, voire complètement fou, qui pète au nez des théologiens, qui engrosse des nonnes, qui enseigne des prières paillardes aux filles de la campagne… Mais c’est un fou divin qui, par son attitude, fait voler en éclat non seulement les conventions sociales, mais aussi les conceptions toutes faites que le mental, par habitude, dresse entre nous et la réalité authentique. Telle est la voie du yogi tantrique qui suit la tradition du Mahamudra : il entraîne dans son sillage aussi bien les grands métaphysiciens que les gens les plus simples, parce qu’il les invite à se réconcilier, dans la joie, avec les plaisirs de l’existence – mais sans s’y attacher. La présente biographie fut composée en 1966 par Geshey Chaphu, moine bhoutanais. Elle n’a rien perdu de saverdeur…


Chödrön Pema – La voie commence là où vous êtes

La Voie n’est pas ailleurs. Elle est ici et maintenant, à l’instant tel qu’il est. Pema Chödrön commente un texte fondamental du bouddhisme : le » texte racine sur les sept points de l’entraînement de l’esprit » de Chekawa Yeshé Dorjé. Au fil d’anecdotes et d’exemples de vies de tous les jours, elle nous éclaire sur les 59 préceptes et attitudes permettant d’éveiller notre cœur. La Voie est ouverte vers une vie sans conflits, libérée des difficultés du quotidien.


Chödrön Pema – Sur le chemin de la transformation

S’ouvrir aux autres relève souvent des bonnes intentions : nous avons tous des a priori, des réticences qui nous bloquent au dernier moment. Pourtant, si l’on veut véritablement se transformer en profondeur, il faut surmonter ces obstacles. Le tonglen, pratique de méditation bouddhiste, apprend à absorber ce qui est négatif pour le restituer sous forme positive, permet de dépasser nos peurs et de développer notre capacité d’acceptation des événements extérieurs. Dans cet ouvrage, Pema Chödrön détaille de façon très concrète et accessible cette discipline. Une méthode qui pourra intéresser non seulement les bouddhistes, mais aussi tous ceux, croyants ou non, qui recherchent une aide dans leur pratique de la méditation.


Claire lumière (édition) – Marpa (Maitre de Milarépa, sa vie, ses chants)

Marpa, qui vécut au Tibet au XIe siècle, est surtout célèbre auprès du public occidental pour avoir été le maître de Milarépa.
Au-delà de cette notoriété se dessinant dans le miroir de la gloire de son disciple, il mérite pourtant d’être connu pour lui-même : pour sa personnalité exceptionnelle, pour le rôle qu’il a joué dans l’introduction du bouddhisme au Tibet et pour l’héritage qu’il a laissé.
Marpa est un personnage complexe : c’est un homme marié, propriétaire terrien, grand aventurier sur les routes de l’Inde, et doté d’un caractère difficile. Mais c’est avant tout un esprit marqué d’une aspiration immense se traduisant par une volonté indomptable : celle d’atteindre l’éveil.
Le récit de sa vie (publié ici en français pour la première fois dans son intégralité grâce à une traduction de Christian Charrier), parsemé de chants magnifiques, nous entraîne dans toutes les péripéties – celles du monde et celles du cœur – qui le mènent jusqu’à son but.
Il serait difficile de ne pas être touché par tant d’efforts, tant de dévouement et tant de grandeur.


Claire lumière (édition) – Petit lexique du bouddhisme tibétain

Conçu particulièrement pour accompagner les publications des éditions Claire Lumière, ce lexique s’efforce d’apporter des définitions simples et compréhensibles par tous aux termes techniques les plus fréquemment rencontrés. Il ne s’agit en rien d’un ouvrage exhaustif, mais d’un compagnon facilitant la lecture de la plupart de nos livres. D’abhidharma à zèn, en passant par bardo, dharma, karma, mandala, prosternation, refuge, etc., plus de 350 mots sont expliqués.


Petite encyclopédie des divinités et symboles du bouddhisme tibétain

Le monde foisonnant des divinités et des symboles du bouddhisme tibétain n’a été, jusque-là, que très peu exploré. Voici enfin un ouvrage systématique et précis qui, sans se prétendre exhaustif, apportera 1000 réponses aux 1000 questions le plus souvent posées.
Treize grands chapitres le composent :
• symbolisme général et attributs,
• bouddhas,
• bodhisattvas,
• yidams,
• divinités féminines,
• Padmasambhava,
• protecteurs et yidams irrités,
• divinités du bardo,
• mandalas,
• divinités locales,
• moudras et postures,
• cosmologie,
• symboles culturels.
Chaque chapitre contient une introduction situant le sujet ; puis, les symboles ou les divinités sont abordés en détail et illustrés par des représentations en couleurs.
Plus de 500 divinités et symboles présentés, plus de 400 illustrations. Un ouvrage unique et indispensable. Et de nombreux récits et anecdotes qui le rendent très vivant!


Claire lumière (édition) – Petite guirlande des Symboles

Du noeud glorieux aux étranges figures ornant les autels, du miroir à l’épée, du précieux cheval au tourbillon de joie, du poisson à fourrure à la roue des existences, du diadème au mandala de l’univers, en passant par le dragon, le garouda et bien d’autres, les symboles ornent d’un sens caché le sacré et le profane du monde tibétain. Ce petit livre nous en livre les secrets. Par l’illustration, il dévoile leur beauté ; par la précision de l’explication il nous révèle leur sens. Il remet ainsi entre nos mains le trousseau des clés magiques qui ouvrent le vaste trésor de la symbolique du Pays des Neiges.


Cornu Philippe – Le miroir du cœur – tantra du Dzogchen

Considéré comme la cime des enseignements dans le bouddhisme tibétain, le Dzogchen, ou voie de la Grande Perfection, traite de la véritable nature de notre esprit et des pratiques pour la réaliser. Le Miroir du cœur de Vajrasattva est l’un des tantras fondateurs de cette voie, c’est-à-dire un texte source, une révélation de l’esprit de sagesse des Bouddhas, à l’origine de tous les enseignements.


Cornu Philippe – Padmasambhava – la magie de l’éveil

Padmasambhava, le Né-du-Lotus, n’est pas seulement celui qui a introduit la plupart des enseignements tantriques au Tibet au VIIIe siècle. Il est, à lui seul, le symbole vivant de la foi dans tout un peuple et l’archétype des maîtres spirituels tibétains du passé, du présent et de l’avenir.

Après avoir livré la symbolique clé de Padmasambhava, cet ouvrage révèle sa vie merveilleuse selon plusieurs sources, dont une anthologie de morceaux choisis du « Dict de Padma » (Padma Thang Yig) dans une nouvelle traduction du tibétain. La biographie du Né-du-Lotus fait littéralement exploser tout cadre spatio-temporel, elle abonde en récits épiques et en enseignements profonds, pour entraîner chacun vers la dimension de l’Éveil, au-delà de tout concept.

Dans la troisième partie, l’histoire de l’École Nyingmapa, celle des Anciens, héritière des trésors (termas) légués par Padmasambhava, illustre la façon dont ces maîtres éveillés ont, jusqu’à nos jours, perpétué cet enseignement spirituel.

Daillance Roger – Himalaya – sous le trône des dieux


Dalaï Lama – Com

Le Dalaï-Lama partage avec nous sa propre expérience de la pratique bouddhiste. Il nous fait part de ses techniques de progression spirituelle pour atteindre un degré de paix supérieur.
En guide, il nous conduit sur la voie de la sérénité pour se saisir de la richesse de chaque instant et donner tout son sens à notre existence.


Dalaï Lama – Compassion et sagesse

• Peut-on concilier démocratie et religion ?
• Quelles règles de morale se fixer dans un monde sans repères ?
• Existe-t-il une saine riposte à la violence et aux fanatismes ?
• En quoi la compassion et la sagesse peuvent-elles sauver l’avenir de nos sociétés désorientées, et
aider chacun de nous dans ses choix d’existence ? Alliant le courage du chef politique, la profondeur
du philosophe et la bienveillance de l’homme de paix, Sa Sainteté le Dalaï-Lama Tenzin Gyatso
répond aux questions les plus fondamentales de notre temps.


Dalaï Lama – Conseils du cœur

Les Presses de la Rennaissance avaient demandé au Dalaï-Lama son testament spirituel. Celui-ci préféra leur accorder, durant deux semaines, des entretiens plus en conformité avec la tradition bouddhiste tibétaine : les conseils du coeur. Dans cette tradition, il est de coutume que les sages conseillent ceux qui viennent les consulter, selon les différents stades de leur vie. Reprenant cette pratique ancestrale, et pour ne pas dénaturer la pensée de Sa Sainteté, il fut convenu que tous les entretiens se dérouleraient en tibétain. Ses propos furent recueillis par Matthieu Ricard et traduits par Christian Bruyat, spécialiste du Tibet, qui assista aux entrevues. Ce livre, que le Dalaï-Lama a voulu pour chaque homme, quelles que soient ses croyances et sa tradition religieuse, est destiné à accompagner toute une vie en vue de trouver le bonheur.


Dalaï Lama – Conseils spirituels aux bouddhistes et aux chrétiens

Accéder à l’amour, à la paix, au bonheur… Pour la première fois, le Dalaï-Lama indique, aux chrétiens comme aux bouddhistes, comment dans leur pratique quotidienne, tirer le meilleur de leurs traditions religieuses. Cet ouvrage explique tout ce que peuvent apporter, dans cette perspective oecuménique, la tolérance, le dialogue, la prière, la maîtrise de soi et la recherche de la paix intérieure. Avec, pour dessein ultime, de restaurer l’amour et l’unité de notre monde.


Dalaï Lama – Essence de la sagesse

La voix de Tenzin Gyatso, 14e dalaï-lama, prix Nobel de la Paix, est l’une des plus écoutées dans le monde. Cet ouvrage présente l’essentiel de son message pour vivre dans l’harmonie, la compassion, le bonheur, et tendre ainsi à la sagesse


Dalaï Lama – Guérir la violence la voie de la félicité

La lumineuse figure du Dalaï-Lama se penche sur nous. A l’automne 1993, il a dirigé en Arizona un séminaire sur la patience. Son expérience du bouddhisme lui permet de faire preuve de compassion – même à l’égard des Chinois – et de nous enseigner à dominer notre indignation, notre rage devant l’injustice ou l’insulte pour acquérir la sérénité. Nous voici, durant quatre sessions, à son école. Quelle richesse ! Si la philosophie bouddhiste demeure sous-jacente, ce livre s’adresse aussi bien aux athées qu’aux chrétiens, aux juifs ou aux musulmans. Grâce à lui, nous apprenons à détecter en nous les racines de la jalousie, de la violence, de l’arrogance et de l’orgueil. Il nous donne les moyens de maîtriser l’avidité personnelle, notre ego si prompt à s’enflammer. Détecter le mal, en comprendre les effets, les cycles, les désamorcer, reconnaître ses propres symptômes, permet de dégager les voies qui conduisent à l’équilibre. Ainsi, les exemples souriants que donne le Dalaï-Lama nous permettent de nous dégager de nos entraves pour pratiquer la générosité, la patience, la persévérance, et parvenir finalement à la sagesse et à la plénitude intérieure.


Dalaï lama – Kàlachakra – guide de l’initiation du guru yoga

Avec cette première publication en français du Guru Yoga de Kâlachakra, commenté par Sa Sainteté le Dalaï-Lama, Sofia Stril-Rever poursuit la traduction des textes-racines de Kâlachakra. La présentation de ce rituel accompagne un guide de l’initiation de Kâlachakra dont le maître-mot a été simplicité. Une simplicité qui permet de visualiser instantanément tout le processus et les enchaînements de l’initiation. On entend trop souvent dire que Kâlachakra est compliqué. En fait, l’essence de Kâlachakra peut se résumer en quelques mots : c’est l’amour à l’état pur, l’amour de Bouddha illimité et relié à tout. Amour se dit en sanskrit maitri, qui signifie devenir un, s’unir. L’initiation de Kâlachakra est une voie particulièrement complète et profonde de ce devenir-un. En ce sens, elle est la simplicité même. La difficulté bien réelle, l’obstacle à surmonter sont les limites de notre esprit et de notre compassion. Un enseignement de Jhado Tulku Rinpoche explique précisément comment le Tantra de Kâlachakra peut devenir une voie de transformation spirituelle, donnant accès aux plans subtils de la conscience. Ce guide accompagnera utilement ceux qui recevront l’initiation et pratiqueront le Guru Yoga de Kâlachakra – afin de les aider à en vivre la grande simplicité.


Dalaï Lama – La grande paix de l’esprit

La Grande Paix de l’Esprit retrace le chemin spirituel dans son intégralité, depuis les notions d’éthique, qui forment le socle commun à toutes les religions et à tous les hommes épris d’humanisme, jusqu’aux enseignements les plus élevés du Dzogchen, en passant par la philosophie bouddhiste fondamentale qu’est la compassion. Invité en 2000 à Lérab Ling, dans le Languedoc, le dalaï-lama a livré les principes clés du bouddhisme devant une assistance de dix mille personnes. Imprégné de l’ambiance chaleureuse de l’événement, ce livre d’une grande fluidité, directement issu de la transmission orale du bouddhisme tibétain, offre au lecteur une dimension inédite de l’esprit du dalaï-lama, en même temps qu’il lui propose une vision panoramique de l’enseignement du Bouddha.


Dalaï Lama – La lumière du dharma


Dalaï Lama – La vie est à nous

Quelles réponses le chef spirituel du bouddhisme peut apporter à nos interrogations de citoyens, de consommateurs, d’hommes et de femmes aux prises avec les difficultés matérielles et éthiques de la vie quotidienne en Occident ? Il fallait un homme comme Fabien Ouaki, président du groupe des magasins Tati, français d’origine juive sépharade, pour oser mettre à l’épreuve du concret le maître spirituel. En répondant avec simplicité à toutes les questions de Fabien Ouaki, tant sur la gestion économique que le pouvoir et la sexualité ou l’éthique individuelle et collective, le Dalaï-Lama montre combien sa tradition est vivifiante et libératrice et nous fait percevoir qu’à tout instant, si nous le voulons, » la vie est à nous « .


Dalaï Lama – La voie de la félicité

les conseils de méditation du chef spirituel du bouddhisme tibétain Dalaï Lama XIV


Dalaï Lama – L’art de la compassion

Après son best-seller L’art du bonheur, le Dalaï-Lama nous apprend ici à ouvrir notre cœur et à témoigner une compassion véritable et durable envers l’autre. Il nous montre avec force et conviction, mais non sans humour, comment transformer l’orgueil en humilité et la colère en amour. A travers l’enseignement de méthodes bouddhistes permettant d’atteindre l’Eveil ultime, le Dalaï-Lama nous explique comment cultiver et développer un réel art de la compassion, source d’un bonheur que chacun désire.


Dalaï Lama – L’art du bonheur

Comment parvenir au bonheur ? Telle est la question à laquelle le dalaï-lama s’efforce de répondre depuis toujours.
Par des conversations, des histoires et des méditations, le dalaï-lama nous montre comment vaincre l’anxiété quotidienne, l’insécurité, la colère et le découragement.
Il explore les diverses facettes de la vie quotidienne : l’amitié, la perte d’un proche, la quête de richesse pour illustrer comment on peut surmonter les obstacles de l’existence en puisant dans notre source de paix intérieure.
L’art du bonheur transcende les limites de la tradition pour aider les lecteurs à faire face à des difficultés qui sont le lot de tous les êtres humains.
» Je pense que le but même de la vie, c’est la recherche du bonheur. Cela me semble évident. Que l’on soit religieux ou non, que l’on croie en telle ou telle religion, nous aspirons tous à une vie meilleure. «


Dalaï Lama – L’art du bonheur 2


Dalaï Lama – Le dalaï Lama parle de Jésus

Fort de la sagesse bouddhiste, le Dalaï-Lama commente les Evangiles et interprète le cœur de la révélation chrétienne. Tout en soulignant les convergences exceptionnelles des deux traditions, il marque aussi les différences et les points de séparation. Ce dialogue interreligieux révèle un immense potentiel d’enrichissement mutuel, surtout dans le domaine de l’éthique et de la pratique spirituelle. Une leçon de compassion, de méditation et de tolérance.


Dalaï Lama – Le monde du bouddhisme tibétain


Dalaï Lama – le pouvoir de la bonté

La bonté est le fondement majeur de la philosophie et de l’action politique du dalaï-lama. Une valeur universelle qui transcende les particularités culturelles. Toutes les religions n’ont-elles pas le même objectif, l’amour du prochain? Au fil des textes et des entretiens rassemblés dans cet ouvrage par Sydney Piburn, le dalaï-lama dévoile les différentes facettes de sa conception de la bonté: questions métaphysiques, politiques, considérations pratiques… Pour que se taisent les armes et que nous nous tenions, enfin, par la main.


Dalaï Lama – Le pouvoir de l’ésprit

Dernier territoire vierge de la science, l’esprit humain suscite toutes les interrogations et tous les débats. C’est sur ce thème sensible que le Dalaï-Lama et des spécialistes en philosophie, neurologie, psychiatrie ou encore neuroscience ont choisi de se rencontrer et de confronter leurs points de vue. Quelles sont les limites de l’esprit? Comment s’articulent le corps et l’âme ? Qu’appelons-nous la conscience ? Telles sont certaines des questions sur lesquelles ils se penchent, sans esprit partisan mais avec curiosité et la volonté pour chacun de partager ses connaissances et son enseignement. Au fil de ce dialogue passionnant et accessible, science et bouddhisme ne semblent alors plus s’opposer mais, au contraire, unir leurs forces pour percer les vastes mystères de l’esprit.


Dalaï Lama – Les étapes de la méditation

Dans son livre, le Dalaï-Lama nous offre un commentaire brillant et précis de l’un des plus importants manuels de méditation utilisés au Tibet, Le Bhâvanâkrama, « Les étapes de la méditation », rédigé par le maître indien Kamalashîla lors de son séjour au Pays des Neiges au début du IXe siècle.


Dalaï Lama – L’esprit de Bodhgaya

Petite bourgade indienne proche de Bénarès, Bodhgaya accueille des milliers de bouddhistes venus du monde entier. En effet, c’est là que Siddharta Gautama, fils de souverain au VIe siècle avant Jésus-Christ, reçut l’éveil, devenant ainsi le Bouddha ( » l’éveillé « ). Chaque année, en janvier ou février, à l’occasion de cet anniversaire, le Dalaï-Lama vient y célébrer une fête spirituelle. C’est l’occasion d’un grand moment d’enseignement où Sa Sainteté répond directement aux questions de la nombreuse assemblée, avec le charisme, la sérénité et la clarté qui le caractérisent. Ici sont réunis des entretiens choisis, qui sont autant de textes de référence pour la communauté bouddhiste. » Océan de Sagesse « , avec une érudition vive, multiple, curieuse de tout, s’exprime sur la doctrine de la vacuité comme sur le port de la robe monastique, sur la politique comme sur les tantras. A l’écouter parler de Jésus, on se réconcilie avec les valeurs fondamentales du christianisme ; sur la physique quantique on s’aperçoit que le bouddhisme s’est depuis longtemps penché, tout comme sur la psychologie appliquée. A l’entendre rire, enfin, on est persuadé que l’espoir reste une denrée précieuse et le bonheur, sans doute, un long chemin. En 1937, au Tibet, un extraordinaire petit garçon de deux ans a été reconnu comme la quatorzième incarnation dans la lignée des dalaï-lamas. Aujourd’hui il est un grand maître spirituel, exceptionnellement doué pour transmettre des vérités de manière accessible à tous.


Dalaï Lama – Pacifier l’ésprit

Le Bouddha exprima les Quatre Nobles Vérités à Sarnath, juste après son Éveil. Toutes les traditions bouddhistes s’enracinent dans cette première énonciation de l’enseignement (dharma) du Bouddha, qui portent sur la réalité de la souffrance, son origine, la possibilité pour tout homme d’en guérir, et les moyens pratiques d’accéder à cette thérapie de l’âme, du corps et de l’esprit. Avec érudition et profondeur, le Dalaï-Lama revisite ces vérités fondamentales du bouddhisme pour en montrer la valeur universelle. Son commentaire, à la fois traditionnel et audacieux, rationnel et mystique, toujours centré sur l’expérience, nous fait comprendre pourquoi la paix de l’esprit est la condition nécessaire du bonheur.


Dalaï Lama – Sagesse ancienne, monde moderne

Parcourant inlassablement le monde entier, se trouvant confronté à toutes sortes de civilisations, Sa Sainteté le quatorzième dalaï-lama ne cesse de voir confirmé le fait que chaque homme, qu’il soit riche ou pauvre, bien portant ou malade, de l’Est ou de l’Ouest, du Nord ou du Sud, n’aspire qu’à une chose : être heureux. A l’approche du troisième millénaire, beaucoup d’entre nous sont en quête d’un mode de vie plus épanouissant, d’un antidote à la stérilité de la société de consommation qui caractérise le monde moderne. Quelle que soit sa religion, et même s’il est athée, l’homme ne peut trouver le bonheur que dans l’épanouissement spirituel. Et c’est cet épanouissement que le dalaï-lama nous invite à rechercher, car, plus que les richesses matérielles, c’est lui qui nous apportera joie et sérénité. Il le fait, d’une manière simple et directe, dans cet ouvrage que l’on peut considérer comme le complément spirituel de son autobiographie, Au loin la liberté.
–Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.


Dalaï Lama – savoir pardonner

« Détestez-vous les Chinois ? » demanda d’emblée Victor Chan au Dalaï-Lama lorsqu’ils se rencontrèrent pour la première fois, en Inde, en 1972. La Chine ayant envahi le Tibet et forcé le chef spirituel tibétain à l’exil, la question avait toute sa pertinence. Le Dalaï-Lama répondit aussitôt par la négative, sans hésiter. Il développa ensuite sa réponse en déclarant qu’il avait pardonné aux Chinois et ne blâmait en aucune façon ce peuple.
Par la suite, une amitié naquit entre les deux hommes, et Victor Chan eut la chance de voyager avec Sa Sainteté à travers le monde. En Inde, en Irlande et même jusqu’aux États-Unis, il a accompagné le Dalaï-Lama et a assisté à des conférences ou à des audiences privées accordées par ce dernier à des personnalités de premier plan.
Auditeur attentif, Victor Chan a synthétisé en une vingtaine de chapitres l’enseignement du Dalaï-Lama sur le pardon. Au-delà, ce livre qui laisse transparaître la personnalité, l’humour, la joie de vivre du saint homme, est un portrait intime par l’un de ses proches.


Dalaï Lama – Transformer son esprit

L’Occident est malade. Malade de vitesse, d’énervement, de surexcitation. On saute d’un avion dans un autre. On travaille sous la pression de chefs d’entreprise qui imposent un maximum de rendement, on regarde pendant des heures des émissions abrutissantes à la télévision, on vit dans le stress et l’angoisse. Même les enfants sont touchés. Dès les classes primaires, pèse sur eux la lancinante question : seront-ils capables de suivre de bonnes études, d’intégrer une grande école ?
Ce livre tente d’offrir une pause de réflexion spirituelle. Le Dalaï-Lama, symbole de la paix de l’âme, nous propose de découvrir une voie nouvelle capable de donner un sens à notre vie. En s’inspirant des principes du lojong, qui signifie littéralement «transformer l’esprit», le maître en développe les thèmes : culture de la compassion, comportement équilibré à l’égard de soi-même et des autres, construction d’une pensée positive, transformation des situations négatives en moyens d’évoluer vers l’harmonie. Cette discipline intérieure a un objectif : apprendre à distinguer l’important du superflu et, au bout de la voie, trouver le bonheur et la sérénité.


Dalaï Lama – La force du Bouddhime

En février 1994, Sa Sainteté le Dalaï-Lama, chef spirituel des bouddhistes lamaïstes, reçoit Jean-Claude Carrière, écrivain passionné• par la culture orientale, dans son monastère du nord de l’Inde où il demeure.
Ensemble, ils évoquent les grands problèmes de notre temps – la surpopulation, la dégradation alarmante de planète, la banalisation de la violence, l’éducation – mais aussi des questions d’ordre métaphysique telles que la mort ou la réincarnation.
Au cours de ces entretiens, le Dalaï-Lama expose sa conception du monde, sa foi en l’homme et en l’avenir, même si la situation paraît critique, sa volonté de ne pas s’attacher aux dogmes et d’élaborer une pensée en perpétuel mouvement. Il décrit aussi le rôle possible du bouddhisme dans le monde aujourd’hui.


Das Surya (le courrier du livre… avant propos Daniel goleman)- Contes tibétains

Les contes sont des moyens artistiques de faire paraître la vérité. Ils nous désarment parce que, même si notre mental établit un parallèle avec notre propre existence, ils semblent concerner quelqu’un d’autre. Et il est toujours plus facile d’entendre parler des bizarreries et des faiblesses d’un autre que d’examiner les siennes. Surya Das nous livre de merveilleux récits, qui, en libérant nos facultés intuitives, nous montreront la voie et nous permettront d’accéder à une perspective plus vaste.


David-Néel Alexeandra – Mystiques et magiciens du Tibet

« Dans ce livre, j’ai tout d’abord relaté les circonstances qui m’ont mise en contact avec le monde religieux lamaïste et celui des sorciers de tout genre qui gravitent autour de lui.
Ensuite, je me suis attachée à grouper un certain nombre de traits saillants concernant les théories occultes ou mystiques et les pratiques d’entraînement des Tibétains…
Mon but a simplement été de donner une idée de la manière dont sont envisagés, dans un des pays les moins connus du monde, certains faits rentrant dans le champ des études psychologiques. »


Deshimaru Taisen – La pratique du zen

Ce volume rassemble Za-zen, la pratique du Zen, enseignement authentique du maître Zen Taisen Deshimaru, et deux textes sacrés du Zen : le Hokyo Zan Mai et le San Do Kai commentés


Deshimaru Taisen – Le bol et le baton

La tradition bouddhiste chinoise et japonaise reste réputée pour la beauté de ses contes ; en voici 120, racontés par Mare Taisen Deshimaru : ces textes légendaires sont surprenants de truculence, de poésie et d’humour. S’y trouve le pur esprit d’éveil du Zen, car chacune de ces histoires nous ouvre des portes qui débouchent sur une vérité essentielle, chacun de ces récits est riche de sens. Reflet de l’original.


Deshimaru Taisen – Zen et arts Martiaux

L’esprit du Zen fut introduit au Japon chez un peuple dont la guerre était l’occupation habituelle. Ce fut le génie du Zen de transformer les techniques brutales de la guerre en arts qui ne se souciaient plus seulement de l’efficacité guerrière mais de la recherche de soi-même. Le sabre, l’arc et la flèche, instruments de mort devinrent des supports de méditation.
Sous cette influence naquit le Bushido, code d’honneur, discipline chevaleresque qui recommande le désintéressement et le mépris de la mort. Tant et si bien que le Zen fut, cette voie d’éveil, appelé « la religion des samouraïs. »
En termes vifs et imagés, parfois même en s’amusant, Maire Deshimaru répond aux questions de ses disciples, sans jamais leur faire oublier que Zen et arts martiaux sont l’apprentissage de la vie et de la mort.


Desjardins Arnaud – Au -delà du moi

Au-delà du moi nous invite à redécouvrir la paix du cœur et la sérénité dont nous frustre l’égocentrisme, en parcourant le chemin de la connaissance et de la liberté. Au-delà du moi, c’est aussi au-delà du doute la certitude, au-delà des souffrances la joie non dépendante.


Desjardins Arnaud – Bienvenue sur la voie

Avec la vogue du » psy « , du » spi » et des techniques de développement personnel, jamais autant d’idées sur la libération et l’éveil ou l’ego et le Soi n’ont eu autant d’écho. La sagesse est offerte à chaque coin de rue. On s’engage – ou on croit s’engager – sur » la Voie « . Donc : bienvenue sur la voie. Mais, en vérité, de quoi s’agit-il ? Car la contrepartie de cet engouement, c’est la pléthore de notions contradictoires répandues dans les milieux spirituels et conduisant à bien des confusions et des malentendus. Arnaud Desjardins nous livre ici le fruit de cinquante années de cheminement personnel dont les trente dernières ont été consacrées à transmettre ce qu’il avait reçu. Œuvre de synthèse visant la simplicité et la clarté, accessible à tous, Bienvenue sur la Voie réunit en un volume les idées essentielles disséminées dans la vingtaine d’autres titres parus sous son nom. Cet ouvrage peut être lu comme une longue lettre d’un ancien aux nouveaux venus dans cette autre approche de la vie qui transforme toute existence, même difficile, en une source de plénitude et de joie.


Desjardins Arnaud – L’audace de vivre

Autrefois grand voyageur, réalisateur pour la télévision de films sur les spiritualités vivantes de l’Orient, films qui ont fait date, auteur d’une vingtaine d’ouvrages dont l’impact ne cesse de croître, Arnaud Desjardins vit aujourd’hui en Ardèche où il se consacre à transmettre ce qui lui fut jadis enseigné. Pourquoi les êtres humains ont-ils peur de mourir ? Parce qu’ils n’ont pas vraiment vécu.
Et quelle malédiction les a empêchés d’exister pleinement, sinon la peur de vivre ? Sans doute notre civilisation ne nous aide-t-elle guère à oser être et exprimer ce que nous sommes réellement, en dépit de son apparente permissivité. L’importance exagérée accordée dans notre société aux valeurs purement intellectuelles et au savoir abstrait ne favorise pas la culture et la croissance du sentiment.
La prolifération des modèles souvent éphémères et superficiels proposés par les médias ajoute à la confusion. Il est devenu plus que jamais difficile de parvenir à être ce que l’on est, et non une imitation. Aussi, nombre de personnes ne s’engagent-elles qu’à moitié dans l’aventure de l’existence, elles avancent avec timidité, tout en se sentant frustrées, ne sachant où puiser, le simple courage d’être. Dans la lignée des précédents ouvrages d’Arnaud Desjardins, ce livre se veut un appel à une vie pleine, intense, à la mesure de chacun d’entre nous.
Il s’adresse à ceux et à celles qui aspirent à trouver et à retrouver en eux-mêmes l’audace de vivre.


Desjardins Arnaud – Pour une vie réussie, un amour réussi

Arnaud DESJARDINS a fait connaître aux Occidentaux les spiritualités de l’Orient à travers ses films et ses livres. Il a suivi les enseignements de maître Swâmi Prajnanpad et a fondé un ashram au sein duquel il a transmis son héritage spirituel. Il s’est engagé dans le dialogue interreligieux et est internationalement reconnu. Il s’est éteint le 10 août 2011.


Dilgo Khyentsé – Audace et compassion

Hautement respecté au Tibet et dans le monde entier, Dilgo Khyentsé Rinpoché, dont la vie exceptionnelle s’éteignit en septembre 1991, était l’un des plus grands poètes, érudits, philosophes et maîtres de méditation au sein des traditions du bouddhisme tibétain. Il nous présente ici « L’Entraînement de l’esprit en sept points », introduit au Tibet par le maître indien Atîsha. Ce texte, qui est le cœur même de la voie bouddhiste, enseigne comment utiliser toutes les situations de la vie quotidienne pour se délivrer de l’emprise du « moi » et se mettre au service d’autrui. Dans cet enseignement, le dernier qu’il donna en France et en Occident, Rinpoché s’exprime de façon directe, s’inspirant largement de sa propre expérience, longue de toute une vie. Le fait qu’il ait depuis quitté ce monde confère à ses paroles encore plus d’intensité. Nombre de ses disciples les considère comme son cadeau d’adieu.


Djamgoeun Kontrul – L’alchimie de la souffrance

Cet ouvrage de référence donne la clef de la mise en pratique quotidienne de l’esprit d’Eveil, la “Bodhicitta”. Il explique comment faire de chaque circonstance une occasion de progrès spirituel, comment desserrer l’emprise de l’ego et s’ouvrir à l’Amour universel.


Djamgoeun Kontrul – Le livre des pratiques prélimianires – le flambeau de la certitude

Cette traduction d’un texte tantrique fondamental révèle la richesse et la profondeur de la tradition bouddhiste tibétaine. Il décrit les quatre pratiques préliminaires, la nature de l’impermanence, les effets du karma, le développement d’une motivation illuminée et la dévotion au gourou


Durix Claude – Evidences ou l’éveil en instance


Dzambala éditions – Esprit du maitre – Paroles de disciples

Six lamas occidentaux, disciples d’un maître de sagesse, Guendune Rinpoché, ont donné des enseignements spontanés puisés dans l’expérience de ce que leur a transmis leur maître.
L’Esprit du maître est la transmission, un héritage spirituel préservé, rendu disponible pour tous. Paroles de disciples contient des instructions vivantes issues de l’enseignement du Bouddha, qui nous introduisent à la pratique spirituelle au quotidien. Esprit du maître, paroles de disciples est un livre né de rencontres : rencontre d’un maître et de ses disciples et rencontres de ces disciples avec tous ceux qui souhaitent développer clarté et bienveillance.
Il s’agit d’un livre issu d’une tradition qui nous invite à aller à la rencontre de l’essentiel dans la vie de tous les jours. La collection Les chemins de la bodhicitta présente l’enseignement issu de la tradition du Mahamoudra, quintessence des enseignements du Bouddha, transmise par la lignée Kagyupa (une des quatre lignées du bouddhisme vajrayana du Tibet). Ces enseignements, authentiques et vivants, rendus ainsi accessibles, permettent à chacun de développer sagesse et compassion, c’est-à-dire de reconnaître la nature de l’esprit et de le partager avec les autres au quotidien.


Dzambala éditions – Le Nyoung-né


Dzongsar Jamyang Khyentse – N’est pas bouddhiste qui veut

Jamais l’adage » L’habit ne fait pas le moine » (et inversement !) n’a été aussi pertinent. Derrière un humour aussi malicieux qu’irrévérencieux (qu’il s’applique autant à lui-même qu’aux autres), Dzongsar Jamyang Khyentse, l’une des figures les plus importantes et les plus originales du bouddhisme contemporain, se livre à une réflexion profonde sur l’essence même d’une religion qui gagne sans cesse plus d’adeptes, y compris dans le monde occidental et industrialisé éloigné a priori des préceptes bouddhiques.

Le but de ce livre est de mettre l’accent sur ce qui distingue le bouddhisme de toute autre religion. Revenant sur l’histoire du Bouddha, puisant dans notre quotidien, Dzongsar Jamyang Khyentse insiste sur le fait que les enseignements bouddhiques n’ont rien d’une grandiose philosophie intellectuelle qu’on abandonne sur l’étagère après l’avoir lue, mais constituent au contraire une vue logique et fonctionnelle que chacun peut mettre en pratique à condition de respecter la thèse des » quatre sceaux » : toute chose composée est impermanente ; toute émotion est douleur ; aucune chose n’existe en et par elle-même ; le nirvana est au-delà des concepts.


Editions Marpa – Dharma Chakra – La voie du bouddha

Il y a plus de 2500 ans le prince Gautama Siddhartha atteignit l’Eveil en reconnaissant la nature essentielle de son esprit. Il devint alors le Bouddha Shakyamuni. Depuis, son enseignement s’est répandu dans toute l’Asie et notamment au Tibet à travers les lignées de transmission ininterrompues. Il est aujourd’hui présent dans tout L’Occident où se sont créés de nombreux centres d’études et de méditation. A Kagyu-Ling, cet enseignement est dispensé sous sa forme tibétaine, dans l’excellence des Trois Véhicules qui répondent aux aspirations et sensibilités de chacun.


Fa-hai – Manifeste de l’éveil

Le Soûtra de l’Estrade de Houei-neng (638-713) est le texte fondateur du Tch’an du Sud, école
bouddhiste de l’illumination subite. Il s’agit d’un texte bref, simple, humain, provocateur et décisif :
le mode d’emploi de l’ouverture infinie reconnue par l’homme comme son essence et son site
originaires. Dans ce parfait manifeste de l’Eveil, compilé par son disciple Fai-hai, le Sixième Patriarche Houeineng balaie en quelques mots les extrêmes tant de la phraséologie canonique que du silence obstiné des ignorants. Car l’essentiel est de retrouver son Éveil originaire en voyant l’essence, c’est-à-dire de percevoir et devenir le fond de l’apparence, l’essence de tout et de chaque chose ; d’accéder à l’absolue absence d’être en soi, à l’insubstantialité du monde et du moi, en un mot, à la connaissance directe de la vacuité, Prajñaparamita


Fayard éditions – les trésors du bouddhisme – Soûtra du diamant

Si le Soûtra du Diamant et le Soûtra du Coeur sont célèbres dans l’ensemble du monde himalayen et sino-japonais, faisant l’objet de récitations et de méditations quotidiennes sur le sens de la vacuité universelle dans le bouddhisme tibétain et zen, il n’en est pas de même du Soûtra de la Pousse de Riz, injustement méconnu, et traduit ici pour la première fois en français. Il s’agit pourtant d’un texte clé des débuts du Mahâyâna, qui traite de tous les aspects de la production interdépendante en soulignant l’irréalité fondamentale des éléments qui la constituent.
Loin d’être un culte du néant, cette insistance sur la vacuité, propre au Grand Véhicule, fait voler en éclats le cadre étroit de l’être et de la substance, si chers à nos philosophes occidentaux, et débouche sur la mise en oeuvre d’une compassion sans limites.


Fayard éditions – L’espace interieur – Le sûtra du lotus

Le Sûtra du Lotus est sans aucun doute l’un des textes fondamentaux du Mahâyâna. Depuis plus de quinze siècles, dans la version de Kumârajîva, il a scandé la pratique des bouddhistes de l’Extrême-Orient et permis à des millions d’entre eux d’approfondir le message du Bouddha. Ce livre canonique connaît actuellement une renaissance impressionnante en Chine, en Corée, voire au Viêt-Nam. Au Japon, il a joui d’une ferveur ininterrompue: les plus croyants continuent à en réciter des passages chaque jour et des mouvements religieux ne cessent de le diffuser pour en faire la Bible du bouddhisme. Grandiose fresque, le Sûtra du Lotus apparaît comme une mise en scène, à l’échelle cosmique, de la prédication du Bouddha, illustrée de paraboles décrivant les différentes étapes qui mènent à l’Eveil. Au cours des âges, poètes et artistes en ont exploré et transposé les innombrables images. Ses virtualités philosophiques, dont le sens peut paraître aujourd’hui obscur, furent mises en valeur par des commentateurs issus de tous les courants du bouddhisme. Le Sûtra du Lotus, dont l’original sanscrit a été magistralement traduit au XIXe siècle par Eugène Burnouf, fut propagé à travers toute l’Asie dans la version en chinois classique qu’en fit Kumârâjiva au Ve siècle. C’est cette dernière qui est présentée pour la première fois en français, avec ses deux traditionnels sûtra d’accompagnement, Le Livre des sens innombrables et Le Livre de la contemplation du Sage-Universel. Jean-Noël Robert, directeur d’études à l’EPHE, Section des sciences religieuses, a publié Les Doctrines de l’école japonaise Tendai au début du IXe siècle


Fayard éditions – traduction Bacot Jacques – Milarépa- ses méfaits, ses épreuves, son illumination.

L’autobiographie de Milarépa est certainement la meilleure clé pour comprendre le bouddhisme traditionnel du Tibet. Magistralement traduit par Jacques Bacot, ce récit où se mêlent merveilleux et poésie est aussi l’un des plus grands documents spirituels de l’humanité. Selon l’un de ses disciples qui consigna sa vie au XIIe siècle, Milarépa pratiqua la magie noire et commit d’innombrables méfaits pour venger l’honneur de sa famille. Puis, pris de remords, il décida de rejoindre un célèbre maître, Marpa, qui le soumit à toutes sortes d’épreuves avant d’accepter de l’instruire. Enfin initié à la doctrine du Bouddha, Milarépa se retira pour méditer dans les montagnes, où il atteignit le nirvana. Il passa les dernières années de sa vie en allant d’ermitage en ermitage, où de nombreux disciples écoutèrent son enseignement et le répandirent.


Fayard éditions – Trésors du bouddhisme – Cinq traités sur l’esprit seulement

Vasubandhu (IVe s.), « le second bouddha », est l’une des figures les plus importantes de la philosophie bouddhiste indienne. Commentateur des Abhidharma, sa pensée évolue constamment jusqu’à épouser les thèses mahayanistes de son frère Asanga sur » l’esprit seulement » dont il deviendra le plus brillant défenseur. Les cinq traités présentés ici témoignent de l’évolution spirituelle de Vasubandhu. Si Le Traité des cinq agrégats et La Discussion sur les preuves du karma sont des compositions de transition, La Vingtaine, – La Trentaine et L’enseignement qui certifie les trois natures sont des œuvres de maturité qui élucident les points difficiles de la philosophie Yogâcâra. La Trentaine est ici accompagnée du grand commentaire de Sthiramati, un disciple réputé pour la clarté de ses explications. Après la publication des Soûtras du Dévoilement du sens profond et de L’Entrée à Lanka, ces traités livrent les clés indispensables à l’étude de ce courant de pensée que l’on désigne parfois comme un » idéalisme bouddhique « .


Fayard éditions – Trésors du bouddhisme – Les mystères essentiels de l’entrée à Lankà

Voici la première traduction française du Soûtra de l’Entrée à Lankâ (Lankâvatâra) qui, avec le Soûtra des Dix Terres (Dashabhûmika) et le Soûtra du Dévoilement du sens profond (Sandhinirmocana), forme l’assise scripturaire de ce qu’il est commode mais inexact d’appeler l’«idéalisme bouddhiste». Négation pure et simple des Idées – platoniciennes, cartésiennes ou «modernes» -, cet idéalisme singulier n’est pas le contraire du matérialisme car, s’il ramène effectivement l’être au concept et les choses à la pensée, il n’admet pas non plus la réalité ultime de la conscience ni de tout ce qui entre dans les catégories du spirituel : il s’agit plutôt, comme l’ensemble de la philosophie bouddhiste, d’une dénonciation rationnelle des limites et dangers du réalisme naïf qui semble dominer la pensée humaine. Manuel de réalisation intérieure, le Lankâ décrit la vacuité de la matière, où il ne voit que les représentations, et la vacuité du psychique, lequel peut se ramener à autant d’idées fictives, avant de proposer une méthode contemplative radicale, fondée sur la «nature de bouddha» en tant que «claire lumière naturelle de l’esprit», dont le chan/zen et le tantrisme sont les applications les plus abouties. La présente traduction, réalisée sur la version chinoise de Shikshânanda (702), est agrémentée de quelques indispensables notes que devraient compléter les brillantes remarques de Fazang du Huayan, assistant styliste du traducteur, dans ses Mystères essentiels de l’Entrée à Lankâ, à paraître prochainement.


Fayard éditions – Trésors du bouddhisme – Soûtra du filet de Brahmâ

Ce texte enseigné par le Bouddha est essentiel dans le bouddhisme sino-japonais : il énonce et explique les règles de la discipline des bodhisattvas, les adeptes de l’esprit d’Eveil, cette vision du monde qui unit la compassion et la connaissance de la vacuité universelle. Dans le premier livre, le Bouddha revêt un aspect «absolu» pour enseigner l’irréalité de toutes choses, y compris des «valeurs morales», qui sont toujours relatives, de même que la nécessité de l’apparence du bien. Dans le livre II, ses enseignements prennent la forme de règles de discipline qui constituent en fait la pratique de l’union de la compassion et de la vacuité. Dix fautes extrêmement graves (tuer, voler, forniquer, etc.) peuvent détruire l’esprit d’Eveil du bodhisattva jusqu’à sa vie suivante. Quarante-huit fautes «moins graves» (manger de la viande, etc.) forment autant de souillures dont il est possible de se purifier sans attendre.

Le Soûtra du Filet de Brahmâ est un manuel de théorie et de pratique de l’esprit d’Eveil en même temps qu’un «disciplinaire» pour la confession bimensuelle des adeptes du Grand Véhicule du bouddhisme.

La traduction ici présentée a été réalisée à partir de la version chinoise de ce texte, due à Kumârajîva (traducteur du Soûtra de la Liberté inconcevable). Daté de l’an 402 de notre ère, il s’agit d’un autre classique du bouddhisme chinois peu connu en Occident.


Fayard éditions – Trésors du bouddhisme – Soûtra des dix terres

Le Soûtra des Dix Terres décrit la progression du bodhisattva, pratiquant du Grand Véhicule, en dix «terres», qui sont autant de «niveaux» spirituels que de «champs» où les qualités de la sagesse peuvent s’épanouir. Sur la première terre, qu’il a atteinte au terme d’innombrables millénaires de pratiques fondées sur le vœu d’atteindre l’Eveil pour le bien de tous les êtres, l’apprenti bouddha découvre la vacuité de toutes choses, leur totale interdépendance et leur essence véritable.

Le lecteur trouvera ici une traduction française originale du «Chapitre des Dix Terres» en six rouleaux, le 26e titre de la traduction chinoise du Soûtra de l’Ornementation Fleurie (ssk Avatamsaka, chn Huáyánjing) réalisée par Shikshânanda vers l’an 700 de notre ère.

Aucun auteur de contes et légendes, aucun génie de science-fiction spéculative n’aura jamais rêvé pareille démesure ! Puissant remède à l’esprit de pesanteur et à la petitesse sous tous ses aspects, ce discours du Bouddha devrait nous aider à enrichir le sens que nous donnons à la sagesse, ainsi que le besoin que ses qualités nous inspirent.


Gampopa – Le précieux ornement de la libération.

Gampopa (1079-1153), le médecin de Dakpo, disciple du célèbre yogi et poète Milarépa, signa de son nom de moine, Seunam Rinchen, le Précieux Ornement de la Libération, lequel est non seulement son chef d’oeuvre mais aussi l’’un des premiers grands exposés de la voie progressive vers l’’Éveil. Dans un style simple et concis, le père de l’’école kagyu décrit les fondements théoriques et pratiques du Grand Véhicule, les étapes de la progression mystique et son terme inconcevable, la bouddhéité authentique et parfaite. L’’ouvrage se divise en six parties dont chaque idée, sinon chaque proposition, est dûment justifiée par une citation du Bouddha ou d’’un commentateur accompli comme Nagarjuna, Asanga, Shantideva ou Atisha. Ainsi, dans la première partie de son traité, Gampopa établit la nécessité de l’’Éveil suprême et sa cause première, la nature de bouddha. Dans la deuxième, il montre que l’’Éveil n’’a de meilleur support qu’’une précieuse existence humaine. Dans la troisième, que le maître spirituel est une condition indispensable au développement du potentiel d’’Éveil. Dans la quatrième, il expose les méthodes, à savoir les instructions pratiques du maître, et les étapes qui jalonnent la voie. Dans la cinquième, la bouddhéité, ou but de la voie, se trouve minutieusement décrite. Et enfin, dans la sixième partie, sont abordées les activités bénéfiques des êtres pleinement éveillés.


Gira Dennis – Le bouddhisme à l’usage de mes filles

Qu’est-ce que le bouddhisme ? Quel éclairage jette-t-il sur la vie, la souffrance, le Moi, la mort, l’autre ? Une introduction fine et accessible à la quatrième religion de France


Guéshé Lobsang Tengyé – Commentaire de la pratique du Nyoung-né

Un nyoung-nè dure trois jours. Le premier jour est le jour de préparation, notamment du jeûne. Le deuxième jour est le jour du nyoung-nè proprement dit pendant lequel les pratiquants, en plus des huit préceptes du mahayana, s’abstiennent de boire la moindre goutte d’eau et jeûnent complètement. Le dernier jour comprend une session le matin qui débute avant le lever du soleil. Broché – 15 x 21 – 112 pages


Guéshé Rabten – Les états de conscience

Guéshé RABTEN décrit dans ce livre la nature et les fonctions générales de l’esprit, ainsi que les états subtils atteints au cours du sommeil et des rêves. Il nous initie aux caractéristiques fondamentales des exercices et méditations permettant d’accéder à ces niveaux efficaces de l’esprit


Gyalwa Tchangtchoub et Namkhai Nyingpo – La vie de Yéshé Tsogyal (souveraine du Tibet)

Cette traduction inédite nous emporte dans l’univers tibétain du VIIIe siècle. Le grand maître Padmasambhava trouve en Yeshé Tsogyal, jeune épouse du roi, une disciple d’une foi et d’une sagesse extraordinaires. A travers une série d’épreuves inimaginables, celle-ci va atteindre la complète réalisation spirituelle. Plein de fraîcheur et de poésie, ce livre recèle un trésor d’enseignements. Un recueil foisonnant destiné tant aux étudiants du bouddhisme qu’aux amateurs de contes et légendes.


Gyatrul Rinpoché – Générer la divinité ( pratique du tantra bouddhique)

Ce livre offre une présentation claire et accessible des pratiques des phases de génération du yoga de la divinité. L’auteur explique l’état d’esprit qu’il faut établir au début de la pratique, les détails des séquences de la visualisation, les trois types d’offrandes, la récitation spécifique du mantra, des moudras et des tormas.


Han Shan – Le chemin de la montagne froide

Han Shan signifie en chinois vieille montagne. C’est également un poète du VIIe siècle. Son traducteur, Martin Melkonian, a su entendre sa parole pour nous la restituer dans son mélange d’ironie aimable, de sagesse feinte et de folie contrôlée. Han Shan nous est proche par son souci de dénoncer toute vanité et de se lier au simple des choses. Il diffère en même temps parce que la vitalité de ses poèmes, leur brièveté, leur candeur apparente nécessitent un recueillement subtil. À peine l’avons-nous atteint que ce personnage aux allures de singe s’est éloigné dans l’ascension d’une montagne avec laquelle il semble faire corps : « Si toute ma vie durant/ je me cache dans montagne froide/ vivant de plantes/ vivant de baies/ quoi de mal à ça/ suis ton karma mon vieux/ jusqu’au bout/ jour mois coulent/ comme ruisseau/ temps/ étincelle de deux silex/ frottés/ je regarde devant moi/ laissant le monde à son agitation/ trop heureux croyez-moi/ d’être assis là/ au milieu des falaises. » Une compagnie précieuse dont la vertu première est peut-être de nous apprendre à tout aimer sans être sûr de rien.


Hermes – Le tch’an (Zen) Racines et floraison

Un choix d’œuvres des maîtres de l’âge d’or du Tch’an. Des textes et des traités qui permettent de suivre le Tch’an depuis ses origines en Inde jusqu’à son épanouissement en Chine et au Japon, jusqu’à une » certaine empreinte » chez les mystiques tibétains et jusqu’à l’enseignement d’un maître chinois du XXe siècle.


Houang-po – Entretiens

Avec Lin-tsi, son fils spirituel, et Ma Tsou, l’ancêtre de sa lignée spirituelle, Houang-po ( ?-850) est, sans doute possible, un des plus remarquables représentants de la mystique tch’an dite de Hong-tcheou. Le Tch’an (de Hong-tcheou) se caractérise par sa réalité absolue, que Houang-po nomme esprit un. » Cet esprit, jamais venu à l’existence, n’a jamais cessé d’exister. Illimité et insondable, on dirait l’espace vide. »
Son discours non duel, basé essentiellement sur la contradiction, fait écho aux préoccupations, de son auditoire de chercheurs spirituels. » Hors l’Eveil, il n’est aucune Réalité, et si l’Eveil avait une quelconque réalité, ce ne serait pas l’Eveil « , répète-t-il inlassablement, à la suite du Bouddha. Houang-po niant toute transmission de son Eveil, car dans l’Eveil il n’est aucun autre susceptible de recevoir quoi que ce soit, comment l’Eveil se transmet-il ? Aucun être se prenant pour tel ne peut le dire ou le penser. Une silencieuse coïncidence seule ouvre l’accès à la Voie où l’esprit se dissout et s’affine au fil de sa pureté primordiale.


Huu Khoa Nguyen – Petite histoire du Tchan

A travers l’examen des tranches de vie, drôles ou pathétiques, énigmatiques ou évidentes, des maîtres chinois du VIIe au XIe siècle, l’auteur cherche à comprendre leurs conceptions de l’existence, leurs façons originales de communiquer et leurs manières déroutantes de transmettre le « Trésor de l’OEil du Dharma ».


Jamgön Kongtrul Rimpotché – Le lama éternel


Jampa Mackenzie Stewart – La vie de Gampopa – fils de cœur de Milarépa

Père fondateur du bouddhisme tibétain au XIe siècle, Gampopa quitta sa carrière de médecin pour s’engager dans la voie spirituelle aux côtés de son maître Milarépa. L’auteur, érudit et pratiquant bouddhiste, a travaillé sur de nombreuses sources tibétaines dont il fait ici la synthèse.


Johari Harish – The monkey and the mango tree


Kalou Rimpoché – Bouddhisme profond

Ce livre regroupe les enseignements portant sur le Hinayana, le Mahayana et le Vajrayana. Il développe les points suivants : la compassion, les liens du corps et de l’esprit, les rouages du samsara, esprits, éléments et agrégats, le Mahamoudra, l’union du Mahamoudra et du maha-ati, le traitement des émotions, etc


Kalou Rimpoché – Fondements de la pratique spirituelle


Kalou Rimpotché – Bouddhisme vivant

Kalou Rimpoché fut, dès les années 70, l’un des principaux maîtres tibétains à exercer une grande influence en Occident en général et en France en particulier, où il fonda de nombreux centres de pratique.
Nous présentons en trois volumes (Bouddhisme vivant, Bouddhisme profond et Bouddhisme ésotérique) une collection non seulement très complète de ses enseignements, mais aussi très fidèle, car nous ne nous sommes pas contentés de retranscrire la traduction orale de l’interprète du moment, mais nous avons patiemment tout repris à partir du tibétain enregistré sur cassettes, afin d’être sûr de ne rien ajouter, de ne rien enlever et de ne rien altérer.
Le premier des trois volumes présente tout d’abord des documents biographiques sur Kalou Rimpoché (notamment les passionnants souvenirs de son neveu et secrétaire, Lama Gyaltsèn, qui l’accompagna pendant des décennies), puis il regroupe des enseignements portant sur la vie quotidienne.


Kalou Rimpotché – Bouddhisme ésotérique

Bouddhisme ésotérique est le troisième volume de la collection d’enseignements de Kalou Rimpoché. Il porte sur notamment sur le vajrayana (ses fondements, son contexte, la nature des mantras, les six dharmas de Naropa, les initiations, etc.), mais renferme également des chapitres sur Déwachèn (le champ pur du Bouddha Amitabha), les six bardos, la pratique de Cheu, la médecine tibétaine et nombre d’anecdotes savoureuses sur les maîtres des lignées Kagyu et Shangpa, auxquelles Kalou Rimpoché appartenait.


Kamalashila – Les étapes de la méditation

Les trois volets des Etapes de la méditation forment un exposé général du bouddhisme du grand véhicule sous l’angle du calme continu – l’unification de l’esprit – et de la vision pénétrante – l’investigation puis la pénétration non conceptuelle de la vraie nature du monde. Cette division bipartite constitue une porte d’accès idéale pour la compréhension de l’ensemble des textes majeurs de la tradition. Cette œuvre s’est aussi avérée décisive dans le contexte de la diffusion initiale de la doctrine au Tibet ; dans le dernier volet, Kamalashila trace la distinction entre les deux tendances qui traversent l’histoire du bouddhisme : le gradualisme et le spontanéisme, privilégiant clairement le premier. Sa position aura une profonde influence sur les orientations de diverses écoles tibétaines. Les Étapes de la méditation ouvrent de passionnantes perspectives, pour le pratiquant comme pour l’esprit curieux qu’intéresse l’histoire de la pensée religieuse.


Karlfried Graf Durckheim – Merveilleux chat – et autres récits zen

Dans cet ouvrage, Karlfried Graf Dürckheim ne nous transmet pas des théories mais des expériences. Il ne fait pas appel à notre intelligence mais à notre disposition intérieure et à notre expérience de la vie. Il nous invite à prendre au sérieux le contenu de nos heures les plus profondes et nous exhorte à nous souvenir des moments de notre vie pendant lesquels nous avons tous été tout près, ne fût-ce qu’un instant, de la vérité.


Khenpo Chimed Rinpoché – 9 jours pour 9 chemins (la voie du Dzogchen)

En présentant les neuf véhicules paliers de la tradition bouddhique tibétaine Nyingmapa, l’ambition de Khenpo Chimed Tséring Rinpoché est de donner la quintessence tant de la parole de Bouddha que des commentaires majeurs de cette parole de Bouddha au cours des âges aussi bien dans l’Inde ancienne qu’ensuite au Tibet et au Népal. Ce livre nous offre également de nombreuses anecdotes savoureuses autant qu’édifiantes sur la vie des grands maîtres et yogis de l’époque qui enchantera le lecteur et nourrira sa réflexion au quotidien. Cet enseignement abordé même de façon élémentaire, pour le simple plaisir de la découverte, est porteur d’incroyables bienfaits.

Cet ouvrage est la retranscription d’un cycle de neuf enseignements oraux délivrés en neuf jours en langue tibétaine par Khenpo Rinpoché, durant le mois de septembre 2008, à Strasbourg, en France, pour présenter les neuf véhicules de la voie graduelle qui conduit au Dzogchen, le sommet de la réalisation spirituelle. Nous sommes ici au cœur de la philosophie bouddhique la plus pure et présentée de la manière la plus vivante pour un public averti autant que débutant.


Kornfield Jack – Perils et promesses de la vie spirituelle

Célèbre aux États-Unis dans les milieux de la psychologie et de la spiritualité en général et dans ceux du bouddhisme en particulier, Jack Kornfield partage dans cet ouvrage les fruits d’un parcours exemplaire. Après avoir été formé pendant cinq ans aux pratiques de méditation intensive dans un monastère bouddhiste de Thaïlande, il rentre aux États-Unis, persuadé d’avoir suivi une ascèse particulièrement efficace. Mais les états de conscience exceptionnels qu’il a connus ne l’ont en rien préparé à affronter ses propres problèmes existentiels. Ce constat douloureux l’amène à une profonde remise en cause de lui-même. Réalisant qu’un complément de formation lui est nécessaire pour se sentir aussi à l’aise dans l’effervescence de la vie contemporaine que dans les monastères d’Extrême-Orient, il explore en profondeur les approches psychologiques modernes.
Le thème fondamental de la complémentarité possible entre les voies orientales de transformation et les découvertes des différentes écoles de psychothérapie a rarement été traité de manière aussi exhaustive que par Jack Kornfield et les quelques spécialistes qui se rattachent à son école. Par ailleurs, à l’heure où certains enseignants de méditation insuffisamment préparés ont été sources de rumeurs ou même de scandales divers, et en accord étroit avec Sa Sainteté le Dalaï-Lama, Jack Kornfield est également le promoteur d’un mouvement d’exigence éthique rigoureuse dans le domaine de la transmission des enseignements spirituels. Ce n’est pas le moindre de ses mérites.


Kriyananda Goswami – Initiation à la méditation

Initiation à la méditation est une présentation claire et concise de l’art antique de méditer.Tout au long de ce livre émaillé de nombreux procédés propices à établir la pratique méditative, le lecteur découvrira des techniques issues de nombreuses traditions, étant ainsi à même de sélectionner l’approche la mieux adaptée à sa personnalité.«La méditation est une chose facile, aussi simple et naturelle que de respirer. C’est le moyen de libérer l’esprit des contraintes passées afin de pouvoir re-naître.»Ainsi s’exprime Goswami Kriyananda dont nous avons pu apprécier l’humour chaleureux, la profonde connaissance mystique et les dons de pédagogue dans Les Lois du Karma, La Science Spirituelle du Kriya Yoga et Astrologie, Voie de Sagesse.Atteindre un état de conscience paisible et serein, rapporter cette méditation au monde et l’y garder, faire de la méditation un art de vivre, tel est le souhait de l’auteur pour chacun de vous.Extrait du livre :Que peut-on attendre ?Quand vous méditez, que pouvez-vous attendre physiologiquement, psychologiquement et émotionnellement ?Au début, quand vous commencez à méditer, votre tension et votre température diminuent, et votre rythme respiratoire se modifie. Ce sont les effets physiologiques. Parmi les trois, le plus important sur un plan mystique est d’abaisser la température de son corps. Si vous méditez réellement, la température de votre corps s’abaissera d’un ou deux degrés. Quand vous dormez, votre température baisse d’un demi à un degré.Psychologiquement, et d’une façon apparemment paradoxale, quand vous méditez, votre corps devient quelque peu agité, alors que votre esprit s’apaise. Cela a l’air plutôt contradictoire ! Quand vous vous asseyez pour méditer, votre nez vous démange, vous vous mettez à gigoter, vous toussez. Le corps, tel un enfant, ne veut pas rester tranquille. Vous pouvez vous attendre à ce que votre corps réagisse et devienne plus agité.Maintenant, si vous êtes orienté vers l’hatha yoga, exécutez quelques positions avant de vous asseoir pour méditer. Le corps sera alors content d’être assis et de rester tranquille. Si vous êtes orienté vers la gymnastique, faites quelques exercices, pas trop pour ne pas perturber votre rythme respiratoire, mais suffisamment pour que le corps ait envie de se reposer. Avec un peu d’exercice physique, votre corps sera bien content de s’asseoir et de rester tranquille un moment. L’esprit peu alors commencer à s’apaiser.Emotionnellement, que ce passe-t-il ?


Kshemendra – La liane magique (les hauts faits du Bodhisattva)

La Liane magique où sont rapportés “les hauts faits du Bodhisattva”, sont une inépuisable source de connaissance, d’étonnement et de joie. Dans ces histoires aussi pittoresques qu’édifiantes, le Bouddha nous livre toutes les clés nécessaires à la compréhension des liens invisibles et puissants qui tissent le monde des êtres et des choses. Aucun bonheur, nulle peine ne surgit sans cause : voilà pour le mystère de la causalité karmique qui laisse l’homme libre de fabriquer lui-même son destin.

Libre d’oeuvrer à son propre bonheur, ce qui est déjà bien, il peut aussi se consacrer au bonheur des autres, et même de tous les autres, aussi inconcevable que l’entreprise puisse paraître. C’est en tout cas ce à quoi ces récits nous invitent. Sur le ton du conte ou de l’histoire fantastique habituel dans l’Inde ancienne, ils transmettent au lecteur l’authentique tradition des bodhisattvas à la bonté sans limite, ces héros compatissants et sages qui s’incarnent et se réincarnent dans les mondes pour libérer chacun des êtres, sans exception, de l’océan de la souffrance.

Que ces miniatures imprévisibles nous émeuvent, nous dérangent ou nous émerveillent, elles ne cessent de nous révéler une sagesse authentique empreinte d’une compassion infinie.


Lachnit Dorotha – Un voyage au Tibet


Lama Anagarika Govinda – Bardo-Thödol – Le livre tibétain des morts

oeuvre majeure du bouddhisme tibétain le Bardo-Thödol a ouvert à la psychologie occidentale des perspectives insoupçonnées. Qualifié par Carl Gustav Jung de « quintessence de la psychologie critique bouddhiste », ce classique vise à libérer celui qui l’étudie des illusions de la conscience égocentrique et de son instabilité perpétuelle.
« Livre tibétain des morts » lu aux mourants pour les guider sur le chemin ardu qui doit les mener à un autre mode d’existence, il est avant tout un manuel d’exploration des états intermédiaires de conscience, dont la mort est un aspect. Joyau de la sagesse orientale à la portée universelle, leBardo-Thödol est un outil précieux pour tous ceux qui s’interrogent sur la nature de l’esprit.


Lama Guendune Rinpoché – D’instant en instant

Lama Guendune, maître bouddhiste tibétain de la lignée Kagyu, naquit en 1918 au Tibet oriental. Il arriva en Europe, à la demande du XVIe Karmapa en 1975, après avoir fui son pays en 1959 devant l’invasion chinoise. Moine depuis son plus jeune âge, il consacra essentiellement sa vie, avant et après son départ du Tibet, à la méditation : il passa une trentaine d’années en retraites méditatives. Ce livre est un recueil de témoignages de ceux qui l’ont rencontré, ont suivi ses enseignements ou effectué sous sa direction les retraites traditionnelles. Les réponses du maître aux questions des disciples concernent la variété des sujets de la vie, depuis le quotidien jusqu’aux interrogations les plus profondes. Leur qualité tient en leur vertu d’improvisation absolue, parfaitement adaptée à l’état d’esprit momentané de celui qui questionne. L’aspect inattendu, incisif de ces paroles met en relief à la fois le fondement immuable de la sagesse, et son caractère très prosaïque. Ce livre dresse ainsi le portrait vivant d’un authentique maître de sagesse et offre ses formulations qui, grâce à leur précision et leur justesse, pourront être indéfiniment méditées.


Lama Guendune Rinpoché – Les émotions

L’auteur décrit les processus mentaux qui entravent le développement des qualités bénéfiques de l’être, et indique différentes méthodes graduelles d’approche pour y rémédier. A travers la mise en pratique de ces moyens, l’on devient à même de maîtriser progressivement les émotions conflictuelles, de les transformer, et d’en reconnaître la nature essentielle de sagesse


Lama Guendune Rinpoché – Mahamoudra

Voici l’essence de la pratique du « dharma » du Bouddha, les grandes règles qui régissent l’univers cosmique et intérieur de l’homme. Lama Guendune développe ici une technique de méditation particulière où la frontière entre le sujet et l’objet s’amenuise jusqu’à ce qu’il atteigne l’état de « réalisation totale » ou accomplissement. . Il s’agit du « Grand Sceau » ou « Grand Symbole », l’un des enseignements les plus profonds du bouddhisme tantrique et ésotérique


Lama Jigmé rinpoché- La méditation dans l’action


Lama Jigmé Rinpoché – Un chemin de sagesse

Un Chemin de sagesse propose un aperçu simple et abordable de la voie bouddhique selon la tradition tibétaine Kagyü. Le néophyte comme le pratiquant confirmé pourra trouver dans ces pages des pistes de réflexion utiles, mais aussi des conseils et des astuces. Loin des clichés exotiques suscités par le bouddhisme tibétain souvent haut en couleur, cet ouvrage conduit à une lecture différente de la vie quotidienne et des situations que chacun rencontre. Il permet de développer et d’utiliser concrètement la sagesse universelle du message du Bouddha en plaçant l’individu au cœur de son propre processus de transformation. La clé réside dans l’étude et la compréhension des points essentiels du bouddhisme ainsi que dans leur mise en œuvre directe par la pratique méditative et l’entraînement quotidien de l’esprit. Lama Jigmé Rinpoché est né au Tibet oriental (Kham) en 1949. Il a grandi et été éduqué avec les principaux enseignants de la lignée Kagyü du bouddhisme tibétain. En 1977, au cours de sa visite en Europe, le 16e Karmapa désigne Dhagpo Kagyu Ling, en Dordogne, comme le siège de son activité européenne et nomme Lama Jigmé Rinpoché comme son représentant officiel et le directeur spirituel du centre. Depuis, Lama Jigmé Rinpoché assume cette fonction et dispense les enseignements du Bouddha en France, mais aussi dans le monde entier. Fort d’une solide expérience de l’Occident, son approche unique et moderne rend la sagesse millénaire du bouddhisme accessible et permet son application concrète dans la vie quotidienne du XXIe siècle. Lama Jigmé Rinpoché est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont “Le moine et le Lama“ avec Dom Robert Le Gall aux Éditions Fayard.


Lama jigmé rinpoché et Le gall dom Robert – Le moine et le lama

Que peut-on dire de Dieu ou de l’absolu ? Qui sont Bouddha et jésus et quel est l’essentiel de leur message ? Qu’est-ce que l’homme et quel est le sens de sa vie ? Le bonheur est-il le but ultime de la vie humaine ? Comment expliquer le mal ? Y a-t-il quelque chose après la mort ? Comment prier et comment méditer ? En quoi consiste le salut chrétien et le salut bouddhiste ? Quels sont les points communs et les divergences essentielles entre ces deux grandes voies spirituelles ?
C’est à ces questions, passionnantes pour ceux qui s’intéressent au mystère de la vie et de la destinée humaine, que tentent de répondre deux maîtres spirituels bouddhistes et chrétiens, fortement enracinés dans leur tradition respective.
Organisé par le sociologue et historien des religions Frédéric Lenoir, ce dialogue inédit entre un moine bénédictin et un lama tibétain permet également de beaucoup mieux connaître, en des termes accessibles à des non-initiés, la profondeur spirituelle du catholicisme et du bouddhisme tibétain.
Dom Robert le Gall, 54 ans, moine bénédictin, est père abbé de l’abbaye Sainte-Anne-de-Kergonan, en Bretagne. Lama Jigmé Rinpoche, 51 ans, moine tibétain de lécole Kagyupa a fui son pays natal, le Tibet, en 1959. En 1974, le Karmapa lui demande de prendre la responsabilité du centre de Dhagpo Kagyu Ling, en Dordogne. Frédéric Lenoir, 38 ans, est docteur en sociologie et chercheur associé au Centre d’études interdisciplinaires Au fait religieux


Lama Jigmela Rinpoché – Les mots clefs du bouddhisme


Lama ole Nydahl – Entering the diamond way


Lama ole Nydahl – The way Things are


Lama Yéshé Nyingpo – Dordjé Sempa

Les différentes méditations pratiquées dans le bouddhisme ont toutes le même but : reconnaître la nature de l’esprit. Il en va de même pour la méditation de Dordje Sempa dont le propos est de purifier en profondeur les voiles qui recouvrent l’essence de sagesse présente en chaque être. Pour tous ceux qui sont engagés dans les pratiques préliminaires du mahamoudra, cet ouvrage est essentiel. Il explique ce qu’est cette divinité tantrique, et comment réciter son mantra. Outre la méthode elle-même. Il explique également les fondements du bouddhisme nécessaires à la compréhension de cette méditation. Le texte est issu d’un enseignement oral donné par lama Yeshe Nyingpo, un des responsables spirituels de l’ermitage monastique de Dhagpo Kundreul Ling en Auvergne qui dirige également les retraites traditionnelles de trois ans des hommes.


Lama Yéshé Nyingpo – Tara verte

Manifestation de la compassion, Tara est la forme féminine de l’Eveil. Divinité de méditation, elle est vénérée par le pratiquant qui cherche à se frayer un cheminement spirituel. La mise en pratique de cet enseignement telle qu’elle fut transmise par Guendune Rinpoché aux Occidentaux


Langdün Päljor – La controverse dans le jardin aux fleurs

Des fleurs cultivées avec amour dans un même jardin vivent en harmonie jusqu’au jour où l’une d’elles, la rose trémière, décide qu’elle doit devenir l’ornement unique de ce jardin. La rose, le chrysanthème, la clématite, le tournesol, la pensée se lancent dans la controverse, les unes dans le but d’apaiser l’ambition de certaines, les autres pour tenter de décrocher le titre. Cette variation bucolique sur la tragédie humaine et politique qui agita la Chine et, le Tibet depuis les années 1950 se lit comme un plaidoyer pour le multipartisme et le pluriethnisme au sein d’un grand pays et dénonce l’attrait pour le pouvoir dont souffre toute société


Lankavatâra – Soûtra de l’entrée à Lankâ

Voici la première traduction française du Soutra de l’Entrée à Lankâ (Lankâvatâra) qui, avec le Soûtra des Dix Terres (Dashabhûmika) et le Soûtra du Dévoilement du sens profond (Sandhinirmocana), forme l’assise scripturaire de ce qu’il est commode mais inexact d’appeler l’ » idéalisme bouddhiste ». Négation pure et simple des Idées – platoniciennes, cartésiennes ou « modernes » -, cet idéalisme singulier n’est pas le contraire du matérialisme car, s’il ramène effectivement l’être au concept et les choses à la pensée, il n’admet pas non plus la réalité ultime de la conscience ni de tout ce qui entre dans les catégories du spirituel : il s’agit plutôt, comme l’ensemble de la philosophie bouddhiste, d’une dénonciation rationnelle des limites et dangers du réalisme naïf qui semble dominer la pensée humaine. Manuel de réalisation intérieure, le Lankâ décrit la vacuité de la matière, où il ne voit que des représentations, et la vacuité du psychique, lequel peut se ramener à autant d’idées fictives, avant de proposer une méthode contemplative radicale, fondée sur la » nature de bouddha » en tant que « claire lumière naturelle de l’esprit », dont le chan/zen et le tantrisme sont les applications les plus abouties. La présente traduction, réalisée sur la version chinoise de Shikshânanda (702), est agrémentée de quelques indispensables notes que devraient compléter les brillantes remarques de Fazang du Huayan, assistant styliste du traducteur, dans ses Mystères essentiels de l’Entrée à Lankâ, à paraître prochainement.


Le grand livre du mois – La santé est en nous


Longchenpa – La précieuse guirlande des 4 thèmes (une introducti on au Dzogchen)

Longchenpa (1308-1364) est un maître de l’école Nyingmapa et l’un des patriarches les plus importants de l’histoire littéraire et spirituelle de la tradition bouddhique tibétaine. Son nom est connu de tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin à la philosophie et aux enseignements bouddhiques car il a su parfaitement résumer les héritages de Padmasambhava et Vimalamitra et exposer les principes d’une subtilité proprement vertigineuse qui sont au coeur des enseignements de la Grande Perfection (Dzogchen).


Low Albert – Se connaitre c’est s’oublier


Low James – Dans le mandala de Padmasambhava

Lorsqu´il visita le Tibet, le grand pandit Indien Atisha dit : « » Nous Indiens, nous pratiquons une déité et en réalisons cent. Vous Tibétains, vous en pratiquez cent et n´en réalisez aucune. « » Dans ce livre comportant la sadhana de Padmasambhava et de ses huit manifestations et un abondant commentaire de James Low, le pratiquant trouvera de nombreuses clés essentielles pour ramener toutes les pratiques à une seule, autrement dit pour unifier visualisation, récitation, foi/dévotion, compassion, méditation et vue.


Mackenzie Vicki – Un ermitage dans la neige

Diane Perry naît en 1943 et grandit à Londres. Enfant, elle éprouve un ardent désir de solitude et de perfection ainsi qu’une attirance particulière pour l’Asie. Livres et reportages lui font découvrir le bouddhisme. Elle a trouvé ce qu’elle cherchait. Elle l’adopte. À vingt ans, elle part pour l’Inde, puis rejoint l’est du Tibet où elle rencontre son maître spirituel et décide de se consacrer aux enseignements de son guide avec constance et détermination. Désormais, elle est Téndzin Palmo. Trois semaines à peine après cette rencontre, elle est l’une des premières Occidentales à être ordonnée nonne lors d’une cérémonie dont les femmes ne pouvaient bénéficier dans la plupart des pays bouddhistes. Elle-même est l’unique nonne parmi les cent moines du monastère tibétain où elle vit et affronte la discrimination sexuelle. Isolée mais incroyablement déterminée, elle fait le vœu d’atteindre l’Éveil – l’état de Bouddha – en tant que femme et d’améliorer le sort de ses consœurs. Elle se retire donc dans une petite grotte du Lahoul, à la frontière indo-tibétaine, à quatre mille mètres d’altitude. Les montagnes et la neige la coupent du reste du monde. Elle a trente-trois ans. Douze années durant, elle va se consacrer à d’intenses méditations, assise dans le petit caisson traditionnel réservé à cet exercice, jamais allongée. Dehors le froid est intense. Ses visiteurs les plus fréquents sont les animaux sauvages. Un petit potager lui fournit de quoi se nourrir l’été et, le reste du temps, elle mange des lentilles et du riz. Mais à aucun moment, ni quand elle manque mourir de faim, ni quand elle reste prisonnière d’une avalanche de neige, elle ne désespère ni même regrette son entreprise. Cette retraite la rend heureuse. Et tous les amis ou les curieux qui lui rendent visite après une si longue période d’isolement s’émerveillent de son épanouissement, de sa sérénité, de sa disponibilité. Depuis, elle parcourt le monde à la recherche de fonds pour construire un couvent destiné aux femmes en quête de perfection spirituelle. Puisant à la source de sa propre sagesse mais n’élevant jamais son expérience au rang de modèle, elle donne des conférences destinées à tous ceux qui cherchent à pratiquer le bouddhisme et se heurtent aux obstacles que semble y opposer la civilisation occidentale. La boucle est bouclée : Téndzin Palmo est venue au monde, s’en est retirée, et y revient dans un but purement altruiste. Comme Bouddha.


Mahasiddhas – La vie de 84 sages de l’inde

Au début de notre ère, lorsque se répandirent les enseignements du Bouddha auxquels fut donné le nom de Grand Véhicule, apparurent nombre de maîtres remarquables qui devinrent célèbres sous le nom sanskrit de mahâsiddhas, « grands êtres accomplis », parce qu’ils avaient atteint les siddhis, ou « accomplissements « . La tradition a surtout retenu le nom de quatre-vingt-quatre d’entre eux. Voici l’histoire de leurs vies, appelées « libérations parfaites « , où se côtoient anecdotes insolites et enseignements profonds que couronne toujours l’Éveil libre de toute entrave : le Grand Sceau qui inspire à Ghandika ce chant de réalisation : Comme le remède et le poison
Participent de la même essence
En produisant deux effets distincts
Les actes négatifs et leurs antidote
Ont la même nature et ne dirent point
Ce que réalisant, les sages ne rejettent rien
Mais les êtres puérils, dans leur ignorance
Ne le réalisent pas et errent dans le samsâra, Mûs par les cinq poisons


Maître Chan du VIIIeme siècle – Les entretiens de Mazu

Mazu (709-788) est l’un des plus grands maîtres de la dynastie des Tang. Son enseignement simple et efficace consiste à mettre à profit toute occasion afin de faire percevoir au disciple qu’il n’y a rien à rechercher, ni au dehors, ni au dedans, mais seulement percevoir l’utilisation merveilleuse du cœur. Pour ce faire Mazu ne se contenta pas de la parole mais employa toutes sortes de moyens adaptés à chaque disciple. Les entretiens de Mazu, Maître Chan du VIIIe siècle, traduits et présentés par Catherine Despeux, sont un classique du bouddhisme zen


Marpa – Tilopa Vie et chant

Cette œuvre succincte sur la vie du Mahâsiddha indien Tilopa a été composée au XIème siècle par le grand traducteur tibétain Marpa Tcheukyi Lodreu (1012-1097) à l’intention de son fils Darma Dodé. C’est la plus ancienne biographie de Tilopa à notre connaissance. Elle s’inscrit dans une collection de textes de la tradition Marpa Kagyu : la Lignée Transmise de Bouche à Oreille de Cakrasamvara et Dàkini.
Le genre auquel il appartient est un “récit de vie de parfaite libération” (tib. Nam Tar) ou hagiographie de celui qui fut le maître de Nàropa.
Traduction de Lydie Rakower
Comité Rimay Lotsawa


Matthieu Ricard – Chemin spirituels

Une anthologie des textes les plus inspirants et édifiants que l’auteur a eu la possibilité de lire au cours d’une quarantaine d’année de vie auprés de grands maîtres tibétains.
Sans prétendre être exhaustive, cette anthologie présente les étapes essentielles de la voie bouddhiste dans leur aspect le plus pratique. Les enseignements des grands maîtres bouddhistes ne sont pas des recettes aléatoires.
Ce sont, au contraire, de véritables guides pratiques fondés sur l’expérience vécue d’êtres experts dans la voie spirituelle, au savoir hors du commun, et qui comprennent clairement les mécanismes du bonheur et de la souffrance.

En 1981, au Bhoutan, le grand maître spirituel tibétain Dilgo Khyentsé Rinpotché (1910-1991) dit à l’auteur : ‟ Lorsqu’on prend conscience de la profondeur de vue des diverses écoles du Bouddhisme tibétain et que l’on voit aussi qu’elles mènent toutes au même but sans se contredire mutuellement, on se dit que seule l’ignorance peut nous conduire à adopter une attitude sectaire ”. C’est dans cet esprit que l’auteur à traduit et rassemblé un choix de textes provenant de ces grandes traditions.


Matthieu Ricard – L’art de la méditation

Si l’art de méditer est un cheminement que même les plus grands sages apprennent tout au long de leur vie, s’y initier au quotidien transforme déjà notre regard sur nous-mêmes et sur le monde. En trois chapitres très concrets (« Pourquoi méditer ? », « Sur quoi ? », « Comment ? »), Matthieu Ricard ouvre les voies de la méditation au plus néophyte des lecteurs. À chaque étape de son enseignement, il s’appuie sur des exemples, des images qui permettent de passer du concept à la pratique. Riche de sa double culture, de son expérience de moine, de sa connaissance des textes sacrés, de sa fréquentation des maîtres, il montre le caractère universel d une méditation fondée sur l amour altruiste, la compassion, le développement des qualités humaines. Et les bienfaits évidents que l’exercice de la méditation peut apporter à chacun dans notre société ultra-individualiste et matérialiste.


Matthieu Ricard traduction – Shabkar (autobiographie d’un yogi tibétain Tome 1)

La vie de Shabkar (1781-1851), traduite ici par Matthieu Ricard et Carisse Busquet, est sans doute la biographie la plus célèbre au Tibet après celle de Milarépa. Comme l’auteur desCent Mille Chants, mais beaucoup plus proche de nous dans le temps, Shabkar est révéré par le peuple tibétain pour sa sainteté et sa simplicité, sa faculté d’émouvoir aussi bien que de faire rire, la profondeur de sa spiritualité exprimée en un style qui la rend accessible à tous.
Ayant atteint l’ultime étape de l’accomplissement (dzogchen), Shabkar fut supplié par ses disciples de raconter les étapes de son itinéraire mystique. Il s’y appliqua en retraçant, dans un passionnant récit en prose entrecoupé de chants poétiques, son chemin d’errance. Ayant connu le plus extrême dénuement et la plus grande félicité, cet ermite inspiré prodiguait ses enseignements à tous les êtres qu’il rencontrait, y compris des bandits dangereux ou des animaux sauvages. Son histoire illustre parfaitement l’enseignement bouddhiste sur le sens de la vie humaine, sur la mort, l’impermanence et sur notre possible délivrance vis-à-vis de la souffrance.
En un temps où le Tibet était en proie au sectarisme religieux et aux rivalités ethniques, Shabkar incarna la tolérance et l’altruisme – ce qui rend son message d’autant plus contemporain.


Midal Fabrice – Introduction au tantra bouddhique

Le tantra, l’un des sommets de la tradition bouddhique, a donné lieu à de multiples fantasmes et mécompréhensions. Ainsi n’est-il pas un ensemble de techniques sexuelles (la sexualité y est simplement vue comme l’une des modalités où l’espace rencontre l’ardeur et l’épouse). Il n’est pas non plus un ésotérisme de pacotille, mais l’ample confiance dans la possibilité de proclamer, à chaque instant, la vérité. Enfin, il ne renvoie pas à des pratiques étranges, mais nous apprend à lier ensemble le corps, les émotions et l’esprit dans une unité féconde, nous mettant à l’unisson du monde. Véritable provocation contre tous les moralismes, dénonciation des religions quand elles deviennent des instruments de soumission, il est l’invitation à oser la plus haute incandescence : rien ne peut entraver l’amour. Fabrice Midal fait entrer son lecteur de plain-pied dans l’expérience même du tantra. A l’âge de la dévastation et du déracinement, où la survie de la terre est menacée, où l’effectivité prend le pas sur l’affectivité, où les hommes ne sont jamais rassasiés et si peu affectueux, le tantra offre une voie d’une étonnante pertinence. Il nous révèle la grandeur d’un monde vivant et poétique qui réside dans la paume de notre main, dans le secret de notre propre vie.


Midal Fabrice – Lumières au pays des neiges

Dans cet ouvrage de référence, Fabrice Midal rassemble pour la première fois des extraits de textes fondateurs – classés par grands thèmes – du bouddhisme tibétain ainsi que des enseignements spirituels dispensés depuis le IXe siècle par ses maîtres. Cette confrontation permet d’approfondir des notions qui se révèlent d’une étonnante modernité dans un monde où la souffrance, la renonciation, la perspective de l’ultime ou l’importance de l’ouverture du cœur trouvent un écho dans la vie quotidienne de la société occidentale. Une anthologie pour s’initier aux éléments essentiels d’une méditation fondée sur une sagesse millénaire.


Murcoot Susan – Bouddha et les femmes


Nagarjuna – la précieuse guirlande des avis au Roi

Les « Conseils au Roi » ( Le Ratnavali ), support littéraire de l’émission, est un écrit fondamental du Grand Véhicule qui initie un fils des Vainqueurs à l’abnégation.

Adressée à un monarque, cette initiation exhorte le roi à mener une vie droite et à appliquer une politique fondée sur les principes du bouddhisme. Ce texte d’une étonnante modernité a toute sa valeur dans notre société contemporaine.

Les Conseils au roi (La Guirlande précieuse de conseils au roi) de Nagarjuna, est un écrit fondamental du Grand Véhicule qui initie un fils des Vainqueurs à l’abnégation. Adressée à un monarque, cette initiation, qui présente les thèmes de la pratique bouddhiste-la culture du bien en vue d’une destinée heureuse, celle de la sagesse du non-soi, qui conduit à la libération, celle des deux collections de mérite et sagesse qui culminent dans la plénitude d’un Éveillé – exhorte le roi à mener une vie droite et à appliquer une politique fondée sur les principes du bouddhisme.

Texte fondateur, les Conseils au roi se sont révélés une source inépuisable pour Aryadeva, le fils spirituel de Nagarjuna, Chandrakirti, et les plus remarquables exégètes indiens et tibétains.

Traduit du tibétain par Georges Driessens, sous la direction de Yonten Gyatso et accompagné d’un extrait du commentaire de Guieltsap Darma Rintchen (1364-1432) intitulé Illumination de la signification essentielle.


Nagarjuna – Traité du milieu

Après le passage du Vainqueur Shakyamouni, les doctrines du Véhicule des Auditeurs se propagèrent largement ; peu nombreux étaient les détenteurs du Véhicule des Héros pour l’éveil, dont la pratique et l’étude se détérioraient. Au Ier-IIème siècle apparut Nagarjuna, qui établit le système du milieu (madhyamaka). Le Traité du Milieu est la plus ancienne synthèse qui nous soit parvenue des soutras de la Perfection de sagesse (prajnaparamita). C’est le texte capital par excellence pour qui veut entrer dans la voie de la libération et entreprendre la révolution intellectuelle requise par une telle démarche. Le Traité démontre l’absence de nature propre de tous les phénomènes extérieurs et intérieurs. Il met en lumière l’absence d’existence réelle de la moindre particule, du plus court moment de conscience. Les apparences sont semblables à un rêve, au reflet d’un visage dans un miroir. Nagarjuna s’attaque à toutes les facettes de notre perception rigide du monde et des êtres. Il met en doute, mine et détruit nos modes de pensée coutumiers. En réduisant nos certitudes à néant, il trace la voie menant au plein épanouissement d’un Éveillé.


Nan Huai-chin – L’expérience de l’éveil

L’expérience de l’éveil. L’un des plus grands maîtres Chan (Zen) présente l’essence de la méditation bouddhique en prenant appui sur de grands textes classiques, sur son expérience personnelle, et sur des exemples pris dans la vie quotidienne. En commentant, le Sûramgama sûtra, très prisé dans le bouddhisme Chan, l’auteur énumère les dangers qui guettent le méditant et donne des jalons sur le cheminement.Il explique ensuite certaines paraboles du Sûtra du Lotus à partir d’exemples quotidiens. Enfin, il présente les dix méthodes classiques de concentration à partir des Agama sûtra et de l’Abhidharmakosa. Nan Huai-chin plonge au cœur de l’expérience pour conduire sur le chemin ceux qui, en fin de compte, devront le parcourir par eux-mêmes.


Ngawang Zangpo – Gourou Rimpoché, sa vie, son temps.

Gourou Rimpoché, encore appelé Padmasambhava ou Né-du-Lotus, occupe, parmi tous les maîtres qui ont enseigné au Tibet, une place à part. Sa personne occupe des dimensions extraordinaires . Cet ouvrage offre, pour la première fois, la traduction de biographies et de prières particulièrement intéressantes. 1/ Regards Le dharma et la vérité historique L’histoire du bouddhisme après le Bouddha Le Tibet et l’Asie à la veille de la venue de Gourou Rimpoché L’Inde à l’époque de Padmasambhava Les publications sur Gourou Rimpoché Le Gourou Rimpoché éternel 2/ Traductions 3/ Annexes : notes sur les prières en 7 chapitres – Un maître Né du Lotus avant Gourou Rimpoché Le livre de Ngawang Zangpo donne d’une part les clés pour comprendre ces différentes dimensions. D’autre part, il offre, pour la première fois, la traduction de biographies et de prières particulièrement intéressantes.


Ngawang Zangpo – Les chants de l’immortalité (chants de réalisation des maîtres de la lignée shangpa)

Exprimer sa réalisation par des chants est une longue tradition du bouddhisme tibétain. On ne s’étonnera pas que la Lignée Shangpa, qui s’est toujours attachée à la pratique profonde au détriment de l’expansion des institutions, se soit montrée particulièrement riche en ce domaine. Depuis son fondateur, Khyoungpo Neljor, jusqu’à ses grands maîtres contemporains, Kalou Rimpoché et Bokar Rimpoché, tous ses hauts représentants ont su inscrire dans la beauté des mots l’étendue de leur compréhension et la profondeur de leur réalisation. Le lecteur en prendra vite conscience en parcourant cette magnifique collection que nous publions sous le titre les Chants de l’immortalité. Il pourra, par ailleurs, se faire une idée de ce que furent ces maîtres-poètes et comprendre le cheminement de la lignée, en lisant les passionnantes notices biographiques qui complètent l’ouvrage


Ngöndro – The four fondational practices of the tibétain bud dhism


Norbu Namkhai – Le cycle du jour et de la nuit

Comment atteindre la «grande perfection» ? Au centre de la pratique du dzogchen, il y a la contemplation, l’expérience immédiate de l’état primordial de l’individu.

Par-delà l’activité mentale que traduit le flot incessant de nos pensées, le reflet même de nos habitudes sociales, culturelles et psychologiques, se tient la nature inconditionnée de l’esprit. C’est à cette découverte qu’invite ce livre, à la fois révélation de tout un continent spirituel et traité pratique.

Le Cycle du jour et de la nuit propose, inspirée d’un enseignement de Gjarab Dorjé, premier maître à avoir révélé le dzogchen, la traduction du texte tibétain de Namkhai Norbu, accompagnée d’un commentaire fondé sur les explications orales et détaillées de l’auteur.

Les méthodes concrètes présentées dans cet ouvrage permettent d’accéder à la contemplation et de l’intégrer à nos activités vingt-quatre heures sur vingt-quatre, tandis que s’écoule le cycle immémorial du jour et de la nuit.


Padmasambhava – Le livre des morts tibétain

Lu et encensé dans le monde entier, Le livre des morts tibétain fait désormais parti du patrimoine littéraire de l’humanité.
Longtemps détourné de son sens véritable et présenté de façon fragmentaire, il est ici, pour la première fois, livré au public sous sa forme complète, directement traduit du tibétain et expliqué dans son contexte originel. Composé par le grand maître Padmasambhava au VIIIe siècle, il traite des mystères les plus profonds de l’existence : le rêve, la méditation, le moment de la mort… Un livre de sagesse, traversé par le souffle de l’esprit qui n’a ni commencement, ni fin et pour qui la mort est un instant de vérité, de retour à la lumière fondamentale.


Patrul Rinpoché – Le chemin de la grande perfection

Ce livre se présente comme un guide des préliminaires de L’Essence du coeur de l’immensité, un cycle de pratiques méditatives appartenant à l’école du bouddhisme tibétain appelée Grande Perfection. En fait il est considéré par de nombreux maîtres de toutes les écoles comme le guide suprême, à la fois profond, vivant et détaillé, de toutes les pratiques préliminaires et, d’une façon plus générale, comme un enseignement fondamental sur le Véhicule de Diamant, dont il expose l’essentiel en termes clairs et simples. Le style direct, familier, et la grande variété des citations, anecdotes et proverbes qui appuient chaque idée importante épargnent au lecteur la monotonie des exposés classiques. La constante référence à l’expérience vécue dénonce la futilité de l’approche simplement intellectuelle et situe bien la pratique authentique du bouddhisme comme une réelle transformation intérieure.


Patrul Rinpoché – Le joyau du cœur


Paltrül Rinpoché – Le docte et glorieux roi

Commentaire de Paltrül Rinpoche sur le Testament de Garab Dorje


Pemberton Harrison J. – Le bouddha à la rencontre de Socrate

Cet ouvrage offre l’aperçu d’une rare rencontre entre l’Orient et l’Occident. Il s’agit du journal d’un professeur américain qui s’est rendu dans les contreforts de l’Himalaya, en Inde, pour devenir le tuteur particulier de l’un des plus hauts lamas du bouddhisme tibétain : le jeune 17ème Karmapa Trinley Thayé Dorjé. ?Une promenade philosophique avec le 17ème Gyalwa Karmapa Au fil de dialogues à la façon socratique, l’esprit, la connaissance, le temps, la mort et l’étonnement ont été explorés. Le contraste entre la pensée orientale et la pensée occidentale permet, à qui apprécie l’une et l’autre, d’en avoir une compréhension plus aiguisée et cette rencontre ouvre de nouvelles perspectives prometteuses. Harrison Pemberton a enseigné la philosophie pendant près d’un demi-siècle, après avoir obtenu son doctorat à l’Université de Yale. Bien qu’il se soit concentré principalement sur la pensée occidentale, notamment Platon, depuis qu’il a été incorporé aux forces américaines d’occupation du Japon après la seconde Guerre Mondiale, il a toujours nourri un grand intérêt pour la pensée orientale. Il a enseigné à Yale, à l’Université de Virginie et à l’Université Washington & Lee, dont il est désormais professeur émérite de philosophie. Il a été invité à enseigner à l’Université du Texas, à l’Université de Californie, à l’Université Chinoise de Hong Kong et, récemment, à l’Institut d’études bouddhiques Karma Shri Diwakar à Kalimpong en Inde.


Points – édition – Dhammapada – La voie du bouddha


Presse de la renaissance – éditions – Contes et paraboles de sagesse du bouddhisme


Rockwell Irini – Les cinq énergies de sagesse

Les cinq énergies de sagesse, ou familles de bouddha, présentées dans ce livre établissent un système sans pareil de compréhension de la personnalité. La découverte de la place que nous occupons parmi ces cinq façons d’être peut nous procurer une immense intuition de nos propres schèmes de comportement et d’émotions, ainsi que des énergies qui animent nos relations personnelles. A l’aide d’exercices pratiques et d’histoires touchantes, Irini Rockwell nous révèle comment reconnaître les énergies qui sont à l’œuvre dans notre vie et comment en faire usage en toute situation pour cultiver la conscience de soi, améliorer nos communications et libérer notre expression créatrice.


Roland Yuno Rech – Le champ de la vacuité

Maître Wanshi (Hung-Chich Cheng-Chueh) vécut en Chine entre 1091 et 1157. Il était un moine de la lignée Soto (Caotong). Il est resté célèbre pour avoir initié le zen de l’illumination silencieuse centré sur la pratique de la méditation sans objet, par opposition au zen Rinzai, où les disciples sont souvent invités à méditer sur des Koan. Son fameux Zasenshin, dont s’inspira maître Dogen, exprime sa vision. Dans ce Champ de la vacuité Wanshi donne des instructions très inspirantes pour la pratique de cette méditation sans objet. Elles illustrent magnifiquement l’éveil immédiat qui se réalise lorsqu’on pratique suivant ses instructions. Roland Yuno Rech s’en est largement inspiré pour son enseignement durant plusieurs sesshin : ce livre en est le brillant reflet.


Salomé Jacques – L’enfant Bouddha

Siddhartha était le fils d’un roi puissant qui vivait dans un immense palais aux pieds de l’Himalaya.Son père le tenait jalousement prisonnier, pour le préserver des souffrances du monde. À partir de cette enfance murée dans le silence et traversée de questions et de peurs, se construira une personnalité exemplaire toute entière tendue vers l’accomplissement et le don de soi. À travers ce récit, illustré par les images limpides de Cosey,Jacques Salomé éclaire, par touches sensibles, les chemins de l’enfance et nous invite à réfléchir à leurs merveilleux possibles.


Salzberg Sharon – Un cœur vaste comme le monde

Avec clarté et sincérité, Sharon Salzberg présente le bouddhisme tibétain dans toute sa pureté. Sa méthode est progressive, pratique et attrayante ; son but est de nous ouvrir au bonheur, ici et maintenant, qui que nous soyons, où que nous soyons.


Sangyé Menla – Médecine Tibétaine


Sawati Kôdô – le Chant de l’éveil – Le Shôdôka commenté par un maître zen

Le Shôdôka (Chant de l’Éveil) du maître Ch’an Yôka Daishi, disciple du sixième patriarche Hui-neng, est le deuxième grand poème zen rédigé en Chine après le Shinjinmei. Il compte parmi les plus beaux fleurons de cette littérature entièrement vouée à la réalisation de l’être. Chanté, il est entré dans le répertoire traditionnel de la musique de cérémonie zen.
Ces soixante-dix-huit poèmes sont ici commentés par l’un des plus grands maîtres du japon du XXe siècle : Kôdô Sawaki (1880-1965). Avant d’introduire la pratique du zen en Europe, Taisen Deshimaru (1917-1982) fut durant trente ans le disciple de ce maître incomparable qu’était Kôdô Sawaki. Ordonné moine par lui, il deviendra son successeur dans la transmission de l’enseignement de Bodhidharma.
La traduction du Shôdôka commentée par Kôdô Sawaki a cette saveur abrupte, incomparable, du zen vécu et réalisé, transmis sans fioritures ni détours dans la plus pure tradition de cette voie d’éveil.


Sell Colleen – Le Zen en 10 minutes

Nul besoin de s’asseoir sous un figuier et de méditer comme l’a fait Bouddha pour atteindre l’éveil. Grâce à ce guide de départ facile, vous pouvez dès aujourd’hui à partir de votre foyer expérimenter une vie remplie de compassion, de joie, de sérénité et de bonheur. Non seulement apprendrez-vous les principes de base de cette vénérable tradition religieuse, mais votre Etre deviendra de plus en plus éclairé chaque jour. Suivez simplement ces puissants conseils utiles et vous découvrirez qu’il est aussi simple de maîtriser les pratiques ésotériques zen que de se promener dans les bois. Au cours de votre voyage vers le nirvana, vous apprendrez à : Calmer l’agitation de votre esprit, Trouver votre centre spirituel, Donner et recevoir de la compassion, Mettre en pratique l’art de la tendre bonté, Vivre le dharma, Vous aimer ainsi que votre monde.


Shabkar – Les larmes du bodhisattva

Ce livre, fondé sur les enseignements du Bouddha, offre la plus offensive et la plus passionnée des accusations contre la consommation de chair animale que l’on puisse trouver dans la littérature tibétaine. Les arguments exposés ici mettent en évidence les méfaits pour soi et pour autrui, à court et à long terme, d’une telle consommation, et ses conséquences directes sur notre progrès spirituel. Quiconque défend le végétarisme s’y référera profitablement


Shamar Rinpoché – Lo djong (la voie vers l’eveil)

Texte essentiel du bouddhisme mahayana, le lodjong, ou entraînement de l’esprit en sept points, est un très ancien recueil de préceptes permettant de transformer toute situation ordinaire, heureuse ou malheureuse, en une opportunité d’ouverture et d’évolution intérieure. Grâce aux conseils ou instructions donnés, méditation et vie quotidienne s’enrichissent mutuellement, amenant peu à peu l’esprit du pratiquant à se libérer de ses tendances égocentriques et à retrouver sa dimension éveillée. S’appuyant sur ses vastes connaissances et sa grande réalisation, Shamar Rinpoche, grand maître tibétain de la lignée kagyupa, a écrit ce commentaire, Lodjong, la voie vers l’éveil, pour aider aussi bien les débutants que les pratiquants avancés à tirer le plus grand bienfait de l’incroyable richesse de ce lodjong dont la simplicité n’a d’égal que la profondeur.


Silburn Lilian – Au source du bouddhisme

Les extraits des grandes oeuvres traditionnelles de l’Inde, du Tibet, de la Chine et du Japon réunis dans cet ouvrage présentent le bouddhisme à sa source. Prêtés au Bouddha ou composés par les grands maîtres qui lui ont succédé et ont revivifié son enseignement, ces textes décrivent une expérience qui ne se réduit nullement à une philosophie, à une morale ou à une sagesse. Les écrits canoniques, comme les traités des différentes écoles qui se sont formées au fil des siècles, témoignent en effet, au-delà de leurs variétés, d’une même expérience, celle d’une connaissance de nature mystique, qui est pure intériorité, où il n’y a nulle différence entre intérieur et extérieur. Cette expérience de l’Eveil se révèle à travers les grands textes d’une anthologie qui montre également les thèmes propres à chaque école en dégageant leur sens profond.

Le choix des oeuvres réunies dans cet ouvrage a été fait sous la direction de Lilian Silburn. Il rassemble des traductions, les premières en français, de Lilian Silburn, André Padoux, Yoshiro Imaeda, Etienne Lamotte, Ginette Martini, Catherine Despeux, Prithwindra Mukherjee, ainsi que des extraits de traductions dues à Rolf A. Stein, Paul Demiéville et Jacques Gernet


Simmer-Brown Judith – Le souffle ardent de la dakini.

Fruit d’une profonde recherche tant spirituelle qu’universitaire, cet ouvrage, qui s’appuie sur l’expérience directe de l’auteur, étudie l’expression la plus profonde et la plus énigmatique du principe féminin dans le bouddhisme : la dakini, personnification à la fois indomptable et incisive de la sagesse. Il nous montre comment la dakini, dans le contexte de la pratique tantrique, est à la fois le guide ultime du pratiquant et sa nature spirituelle la plus intime. De sorte qu’il confirme, bouleverse et transcende tout à la fois les vues contemporaines sur les deux sexes et leur symbolisme. Dans cette étude à la fois très documentée et nuancée, Judith Simmer-Brown analyse l’un des symboles les plus insaisissables et pourtant parmi les plus puissants du bouddhisme tantrique tibétain tout en se gardant de tomber dans les pièges réductionnistes des modèles d’interprétation jungiens et féministes. Traitant de l’un des sujets les plus troublants du bouddhisme Vajrayana tibétain, ce livre fondamental est un trésor d’informations sur les qualités du principe féminin dans la tradition tantrique bouddhiste telle qu’elle nous arrive aujourd’hui en Occident. L’auteur y entrelace récits traditionnels et commentaires de maîtres bouddhistes contemporains et nous livre le panorama le plus complet à ce jour sur ce sujet. Fondé sur une connaissance universitaire doublée d’une solide expérience personnelle, cet ouvrage unique en son genre est destiné à tous les chercheurs spirituels, à ceux et celles qui s’intéressent à la tradition tantrique, à la spiritualité féminine et aux pratiques spirituelles de divinités féminines.


Sofia Stril-Rever (traduction) – Tantra de Kàlachakra

Dans ce Grand enseignement du Bouddha au roi de Shambhala, la vibration en splendeur est l’expérience source du mandala de Kâlachakra dont la création peut se vivre comme l’enfantement du soleil de notre nature de Bouddha. De couleurs pourpre et or, les robes des moines, penchés aux quatre orients du disque du mandala, forment les plis d’une aurore spirituelle. Au terme d’une liturgie solennelle, leurs mains consacrées mettent au monde la splendeur originelle qui brille au cœur de chaque vivant. C’est le soleil de l’amour de Bouddha à l’état pur, qui a le pouvoir de déchirer notre nuit de souffrance. Si nous étions capables d’entrer dans la vibration en splendeur du mandala de Kâlachakra, l’amour de Bouddha illuminerait instantanément notre vie. Nous nous représenterions alors le monde à la manière d’un bodhisattva qui prend sur lui la souffrance de tous les êtres et réalise, pour leur Eveil, la totalité unifiée de la nature de Bouddha. Or c’est la vibration en splendeur, au cœur du mandala de Kâlachakra, qui porte, vers tous les vivants de tous les mondes, jéñana et maitri, la sagesse et l’amour infinis du Bouddha. La contribution inédite de ce livre, de source indienne et sanskrite, renouvelle nos connaissances sur le mandala et approfondit les éléments de réflexion sur Kâlachakra, déjà présentés avec les premières traductions françaises du Tantra de Kâlachakra et du rituel de l’initiation (aux Editions Desclée de Brouwer)


Sogyal Rinpoché – L’avenir du bouddhisme

Peu seraient mieux placés, pour nous parle du bouddhisme et de son avenir, que Sogyal Rinpoché, auteur du retentissant Livre tibétain de la vie et de la mort et l’un des plus fameux maîtres contemporains de méditation.
Dans ce livre remarquable, il puise dans son expérience de plus de vingt-cinq ans d’enseignement dans le monde contemporain pour réfléchir à certaines des grandes questions posées par la venue du bouddhisme en Occident. Comment le bouddhisme s’adaptera-t-il, comment trouvera-t-il sa place dans la société occidentale ? Comment rendre accessibles aujourd’hui tout le bienfait et le pouvoir de ces enseignements millénaires ? Comment les pratiquants peuvent-ils être soutenus et entraînés ? Rinpoché nous entretient du rôle vital de l’esprit sur la santé, des effets de l’entraînement de l’esprit à la méditation et de la guérison ultime résultant de l’expérience personnelle de la véritable nature de l’esprit. Il donne aussi de précieux conseils sur les moyens de survivre sur le chemin spirituel, où il est extrêmement important de démasquer les illusions et les malentendus quotidiens qui dominent toute notre vie.


Sogyal Rinpoché – Le livre tibétain de la vie et de la mort

Dans cet ouvrage, Sogyal Rinpoché concilie l’ancienne sagesse du Tibet et la recherche contemporaine sur la mort et les mourants, sur la nature de l’esprit et de l’univers. Il présente de façon claire la vision de la vie et de la mort telle que nous la propose la tradition tibétaine. Il explique notamment ce que sont les » bardos « , ces états de conscience après la mort qui ont tant fasciné les artistes, médecins et philosophes occidentaux, depuis la publication, en 1927, du Bardo Thödol (le Livre des morts tibétain). Sogyal Rinpoché montre que dans la mort, comme dans la vie, l’espoir existe et qu’il est possible à chacun de transcender sa peur pour découvrir ce qui, en nous, survit et ne change pas. Il propose des » pratiques » simples mais puissantes que chacun, quelle que soit sa religion ou sa culture, peut accomplir afin de transformer sa vie, de se préparer à la mort et d’aider les mourants. Ce livre est aussi une introduction à la pratique de la méditation, ainsi qu’aux notions de renaissance et de karma. Le Livre tibétain de la vie et de la mort n’est pas seulement un chef-d’œuvre spirituel, c’est un manuel, un guide, un ouvrage de référence et une source d’inspiration sacrée.


Suruki Shunryu – La source brille dans la lumière

Shunryu Suzuki (1904-1971), maître zen japonais de la lignée Soto, qui a introduit la pratique du bouddhisme zen aux États-Unis au début des années soixante, est l’auteur du célèbre Esprit zen, esprit neuf, l’un des classiques de la littérature zen contemporaine.

Avec La source brille dans la lumière, son second ouvrage, il commente un texte essentiel du zen Soto, le Sandokai, poème du VIIIe siècle du maître chinois Sekito Kisen. Dans un langage accessible, Shunryu Suzuki exprime toute l’essence et la subtilité du zen, et permet à chacun d’approfondir son expérience et sa compréhension de l’enseignement bouddhique.

Indispensable pour les pratiquants du zen et pour tous ceux qui s’intéressent au bouddhisme, cet ouvrage précieux et vivant révèle la sagesse, la perspicacité et l’humour de celui qui fut l’un des plus influents maîtres bouddhistes du XXesiècle


Takpo Tashi Namgyal – Les six yogas de Naropa

Les six yogas de Naropa constituent certainement un des plus grands trésors du bouddhisme tibétain. Ils synthétisent toutes les pratiques du Vajrayana, le véhicule de Diamant.

Ils révèlent la technique de toumo, la chaleur intérieure qui permet de demeurer l’hiver dans les grottes et ermitages de montagne, sans ressentir le froid, comme le faisait le poète-yogi Milarépa. Mais Namgyal précise que cette technique de méditation permet aussi d’atteindre la béatitude de l’éveil.

Le yoga du rêve donne les pratiques permettant de demeurer conscient dans son sommeil et de visiter les «Terres de Bouddha». Le yoga de la Claire Lumière offre la possibilité de réaliser la Lumière primordiale qui demeure entre deux pensées comme au coeur de la nuit. Po.wa permet de sortir consciemment de son corps. Enfin, le yoga du bardo utilise le passage de la mort comme une voie de libération.

Ces yogas sont attribués au grand maître tantrique Naropa mais leur origine demeure mystérieuse.
Takpo Tashi Namgyal (1511-1587) appartenait à l’école Drugpa Kagyu. Il était à la fois un grand yogi et un grand érudit. Son ouvrage sur les six yogas de Naropa est un petit chef-d’oeuvre, simple et clair.
Par ailleurs, dans son introduction, le traducteur montre la structure des six yogas, leurs relations entre eux et comment ils forment une totalité qui embrasse tous les aspects de la voie spirituelle tantrique.


Taranatha – Le soleil de la confiance (la vie du bouddha)

La vie du Bouddha montre comment un homme, un simple être humain, peut, à l’aide de la juste aspiration et du juste effort, dépasser la vanité de naître uniquement pour vieillir, être malade et mourir ; autrement dit comment l’être humain a le pouvoir de ne plus répéter l’erreur égoïste et les gestes du corps, de la parole et de l’esprit qui provoquent la souffrance et en perpétuent les causes. Le Soleil de la Confiance de Jetsun Taranatha, écrivain et mystique tibétain des XVIe-XVIIe siècles, est une » vie du Bouddha » originale à maints égards. Illuminée autant par son sujet que par le style de l’auteur, cette biographie est une source d’inspiration particulièrement recommandée par de grands maîtres tibétains comme Dudjom Rinpoché, Dilgo Khyentsé Rinpoché et Kangyour Rinpoché. Les pratiquants du Theravada aussi bien que du Mahayana reconnaîtront leur voie dans cette ceuvre compilée à partir des sources anciennes, où l’on trouvera non seulement le récit de la vie et de l’éveil de Siddhartha Gautama, mais aussi la façon extraordinaire dont se forma la communauté des êtres qui suivirent son exemple


Tarthang Tulkou – l’art intérieur du travail

Le travail, trop souvent vécu comme source de fatigue, peut se révéler un bénéfique instrument de transformation intérieure. Trop souvent le travail est vécu aujourd’hui comme une obligation, une source de fatigue, de conflits, ou une routine. Pourtant, nous pouvons tous découvrir dans notre travail cet accomplissement qui donne du goût à la vie. L’Art intérieur du travail montre comment, dans son labeur, réveiller la joie, se sentir responsable, cultiver dans tous nos actes, y compris ceux qui nous apparaissent les plus ingrats, la richesse de notre être intérieur. Chaque expérience devient un défi, nous invitant à travailler et à vivre dans la plénitude de notre potentiel humain. C’est en travaillant avec des Occidentaux que Tarthang Tulkou, lama du Tibet oriental, a pu associer la profonde compréhension de sa formation traditionnelle aux impératifs de la vie moderne (il enseigne le bouddhisme dans les universités américaines). Son ouvrage est dédié à tous ceux qui travaillent dans le Pays de l’Opportunité


Tcheuky Séngué – Le temple Tibétain et son symbolisme

Le Temple tibétain et son symbolisme répond aux questions des occidentaux, au delà de l’esthétisme des temples tibétains, en nous entrainant dans une visite guidée au cours de laquelle nous découvrons avec émerveillement le temple et son symbolisme dans toute leur richesse et toute leur profondeur. De très nombreux dessins…


Tenzin Wangyal Rinpoché – Les sons tibétains qui guérissent

L’une des plus anciennes traditions spirituelles du monde est la tradition bœun-bouddhiste du Tibet, chemin de sagesse qui a survécu grâce aux efforts de quelques lamas dévoués, tel Tenzin Wangyal Rimpoché.
Il comprend une tradition thérapeutique reposant sur cinq syllabes fondamentales qui nous ramènent à la nature essentielle de l’esprit et libèrent sa créativité illimitée ainsi que ses qualités inhérentes. Grâce au son, vous pouvez dissiper les obstacles qui affectent le corps, l’énergie, les émotions, et les dimensions sacrées de l’être. Dans ce livre accompagné d’un CD, Tenzin Wangyal Rimpoché vous donne les moyens d’accéder à la sagesse et à la compassion, d’utiliser la vibration du son sacré pour développer le pouvoir de guérison au sein des canaux subtils du corps.


Thich Naht Hanh – Clés pour le Zen

Le vénérable THICH NHAT HANH est un maître bouddhiste vietnamien. Ses actions pour son peuple ont conduit Martin Luther King à soutenir sa candidature pour le prix Nobel de la paix en 1967. Réfugié politique en France depuis 1972, il a fondé en 1982 le » Village des Pruniers « , une communauté où il anime des séminaires.

Un jour, pour tout enseignement, Bouddha cueillit une fleur. Seul Mahakashyapa comprit la signification profonde de ce geste et donna naissance au zen : la voie du calme, du dépouillement et de la sérénité. Maître Thich Nhat Hanh nous invite à la pratique du zen : trouver la sagesse dans nos actes quotidiens.


Thich Naht Hanh – La sérénité de l’instant

Ce livre commence là où le lecteur se trouve : à la cuisine, au bureau, en voiture, au jardin.. .
Pour Thich Nhat Hanh, maître zen mondialement célèbre, le stress de la vie moderne nous fait perdre le contact avec notre paix intérieure. La sérénité de l’instant nous apprend à faire un usage positif des situations quotidiennes qui nous mettent sous pression. Les exercices proposés nous encouragent à transformer nos émotions négatives, comme la colère, la peur ou la tristesse, tout en œuvrant pour le bien de l’humanité grâce à la méditation et la pleine conscience. Pragmatique et subtil, La sérénité de l’instant nous invite à une pratique de la conscience du corps et de l’esprit à travers la respiration attentive, source immédiate de joie et de paix


Thich Nhat Hanh – Enseignement sur l’amour

Quelle que soit la tradition spirituelle à laquelle nous appartenons, le bonheur ne semble possible que si l’amour est authentique. Mais encore faut-il comprendre la nature du véritable amour, et savoir comment le générer puis le nourrir. à partir des enseignements du Bouddha, Thich Nhat Hanh décrit les voies qui permettent de réunir en soi amour, compassion, joie et non-attachement. Il nous indique les moyens concrets de nous libérer des afflictions qui nous empêchent de bien aimer – colère, peur, anxiété, avidité, ignorance… – et commente quelques-uns des plus grands sutras du bouddhisme sur l’amour. Un livre inspiré par la pratique traditionnelle de la « vision profonde », et qui nous guide pour la traduire en actes quotidiens.


Thich Nhat Hanh- La vision profonde

“La sagesse est une source vivante, et non une icône à conserver dans un musée.” Ainsi parle Thich Nhat Hanh, le grand maître vietnamien du bouddhisme de l’Ecole du Sud (Petit Véhicule), installé en France depuis 1982. S’inspirant à la fois de la psychologie bouddhique, de l’épistémologie et de la physique contemporaine, fidèle à sa philosophie selon laquelle “ceux qui méditent doivent utiliser le langage de leur époque pour exprimer leur vision profonde”, il propose ici au lecteur de parcourir les chemins qui vont de la “Pleine Conscience” bouddhique à l’approfondissement intérieur, dans un style simple et sensible.


Thich Nhat Hanh – Le cœur des enseignements

Maître bouddhiste vietnamien, le vénérable Thich NHAT HANH est une figure majeure de la spiritualité mondiale. Ses actions pour son peuple ont conduit Martin Luther King à soutenir sa candidature pour le prix Nobel de la paix en 1967. Réfugié politique en France depuis 1969, il a fondé en 1982 le » Village des Pruniers « , une communauté où il anime des séminaires.

Les Quatre Nobles Vérités, le Noble Sentier des huit pratiques justes… voici quelques-unes des notions fondamentales de la pratique du bouddhisme zen que nous présente avec simplicité le vénérable Thich Nhat Hanh. Se référant aussi bien au vaste fonds de littérature bouddhique qu’à des anecdotes contemporaines, il nous propose une véritable initiation au bouddhisme mahayana tout en initiant une profonde réflexion humaniste


Thich Nhat Hanh – L’ésprit d’amour

Pour la première fois, un grand maître zen, un moine, raconte l’histoire d’un amour humain qui l’a personnellement lié à une jeune religieuse au Viêt-nam. Quand un moine parle de l’âme sœur, il montre comment transcender cet amour, de l’individuel à l’infini.

Pudique et émouvant, ce récit poétique et inspiré est l’occasion d’une méditation profonde sur l’amour infini, la compassion, la présence sensuelle au monde, le détachement des notions et des dogmes, l’interrelation profonde de toutes choses et les grands sutras du bouddhisme mahayana.


Thich Nhat Hanh – Transformation et guérison

Transformation et guérison présente les enseignements originels du Bouddha sur la méthode de l’attention au corps, aux sensations, à l’esprit et aux oblets de l’esprit, à travers trois versions du Sutra des Quatre Etablissements de l’attention l’un des trois principaux sutras.
Le commentaire de Thich Nhat Hanh, qui inclut vingt contemplations liées à la vie quotidienne, nous indique comment traiter la colère, la jalousie et les traumatismes ; comment cultiver les plus belles qualités de ceux avec qui nous vivons nos enfants, nos amis ; comment accueillir avec sagesse et compassion notre propre mort et celle des personnes aimées.
Avec la simplicité et la profondeur qui caractérisent son enseignement, le maître zen nous invite à considérer concrètement les exigences d’une transformation intérieure, voie menant à une véritable guérison spirituelle.


Thich Nhat Hanh – Vivre en pleine conscience

Ce livre est à la base de l’enseignement divulgué par Thich Nhat Hanh. Il plaide pour la capacité à vivre dans l’instant, en intégrant les aspects de notre personnalité qui nous paraissent les plus inachevés, nos défauts, nos émotions, nos colères, nos frustrations. L’auteur nous propose ici des moyens clairs pour se réconcilier avec soi-même et avec autrui, pour se reconstruire et faire émerger un nouvel esprit communautaire. Bien qu’issus du bouddhisme, ses préceptes s’adaptent à toute autre tradition religieuse comme à des concepts de vie laïcs


Thich Nhat Hanh – La respiration essentielle (notre rendez-vous de la vie)

Moine bouddhiste vietnamien de tradition zen, inlassable défenseur de la Paix, Thich Nhat Hanh a enseigné à la Sorbonne et à l’université de Columbia. Voici, regroupés en un seul volume, ses commentaires de deux sutras historiques du Bouddha. Le premier concerne les techniques de respiration consciente qui permettent de métamorphoser notre rythme de vie et d’apaiser notre corps tout entier. Le second nous apprend à vivre pleinement le moment présent : notre rendezvous avec la vie se situe en effet ici et maintenant, loin des mille pensées qui agitent sans trêve notre mental. Un enseignement simple et bénéfique au quotidien, basé sur une philosophie traditionnelle que Thich Nhat Hanh, l’auteur de La Vision profonde, éclaire de ses commentaires pénétrants


Thogmé Gyelsé – Les 37 pratiques des bodhisattvas

Les parfaits Bouddhas sont la source de tous les bonheurs et bienfaits obtenus par la pratique du saint Dharma. Puisque de cela dépend notre connaissance du Dharma, je vais expliquer les 37 pratiques des Bodhisattvas.


Thomas Dominique – Les 37 pratiques des bodhisattvas – grammaire et vocabulaire


Thomas Dominique – L’écriture du tibétain classique


Thomas Dominique – Les bases essentielles de la grammaire tibétaine Vol 2


Thrangou Rinpoché – La vie merveilleuse de Réchoungpa le disciple rebelle de Milarépa

La vie merveilleuse de RÉCHOUNGPA, le disciple rebelle de Milarépa
Milarépa, le grand yogi et poète du Pays des Neiges, eut, parmi tant d’autres, deux très grands disciples : Gampopa semblable au soleil et Réchoungpa semblable à la lune. La vie du premier a déjà été publiée et celle du second n’est pas moins intéressante.
Disciple orgueilleux et désobéissant dont nous suivons les aventures au Tibet et en Inde, Réchoungpa est pourtant « vaincu » par Milarépa qui, avec patience, humour, habileté et compassion, le mène jusqu’à la sagesse, faisant naître en lui toutes les qualités.
En raison même de ses faiblesses, Réchoungpa est plein d’une humanité proche de nous et sa biographie ne saurait être qu’un encouragement.


Trungpa Chögyam – Bardo

« Il me semble que l’on se méprend beaucoup sur le bardo : on le met purement en relation avec l’expérience de la mort, et de ce qui se passe après la mort. L’expérience des six bardos ne porte pas uniquement sur l’avenir ; elle concerne aussi le moment présent. Chaque étape de l’expérience, chaque étape de la vie, est expérience du bardo.

Que veut dire le mot tibétain bardo ? Bar signifie “entre” ou, disons, “zone mal définie”, et do c’est comme une tour ou une île dans cet…


Trungpa Chögyam – Folle sagesse


Chögyam Trungpa décrit la folle sagesse comme un état d’esprit innocent comparable à l’aurore – éveil d’une fraîcheur étincelante. En retraçant la vie de Padmasambhava – le maître indien qui introduisit le bouddhisme au Tibet -, il met en lumière le principe de la folle sagesse, conçu comme le point inaugural d’un voyage spirituel étourdissant. Approchée sous cet angle éclairant, la pratique spirituelle n’a pas pour objet d’apporter quelque réponse confortable à la douleur ou à la confusion qui nous habitent. Au contraire, notre souffrance, nos émotions, nos « défauts » sont perçus ici comme autant de tremplins vers une nouvelle découverte de nous-mêmes. « On creuse dans ce que la vie a d’irritant, dit Trungpa, on y plonge et on s’y établit. » Exploration radicale de la voie directe du tantra, Folle Sagesse peut aussi se lire comme le manifeste d’une liberté authentique


Trungpa Chögyam – Jeu D’illusion

Le paradigme tantrique mettant cette démarche en relief est l’histoire de Naropa (1016-1100).Erudit indien, Naropa compte au nombre des grands maîtres accomplis de la lignée kagyü rattachée au bouddhisme du Tibet. Au moment de s’engager sur la voie solitaire et ardue de l’éveil, Naropa est déjà un érudit de premier plan à l’Université Nalanda où l’on forme les moines bouddhistes. Après avoir subi une série d’épreuves toutes plus décourageantes les unes que les autres, il est enfin prêt à recevoir la transmission directe de l’esprit éveillé auprès de son gourou, Tilopa.Les enseignements qui lui sont donnés, y compris les six doctrines dites de Naropa, ont été transmis dans les lignées du bouddhisme tibétain depuis plus de mille ans, et sont pour la première fois disponibles en Occident dans une version exacte.


Trungpa Chögyam – Le mythe de la liberté

Dans cet ouvrage, composé à partir de conférences données par Chögyam Trungpa Rinpoché, dixième incarnation de Tulku Trungpa et le plus célèbre Maître du Dharma, la notion de liberté est replacée dans le contexte du bouddhisme tibétain. L’auteur montre comment nos attitudes, nos idées préconçues, et même notre pratique spirituelle peuvent nous enchaîner aux modèles répétitifs de la frustration et du désespoir. Trungpa explique également le rôle que joue la méditation permettant à ces énergies négatives de nous aider à progresser en direction de la véritable liberté.


Trungpa Chögyam – L’entrainement de l’esprit

Les « sept points de l’esprit » sont attribués au grand maître indien Atisha, né au Bengale en 982. Ils ont été systématisés au XIIe siècle sous la forme d’une liste de cinquante-neuf slogans qui constituent autant d’instructions essentielles au bouddhisme mahayana. L’étude et la pratique de ces slogans permettent de se détacher du moi et de cultiver la tendresse et la compassion. On trouvera donc ici une méthode d’entraînement de l’esprit s’appuyant à la fois sur la pratique formelle de la méditation et sur la prise en charge des événements de la vie quotidienne. L’ouvrage présente également des enseignements et commentaires donnés par Chögyam Trungpa au sujet de ces slogans, dont il souhaitait répandre l’usage pour aider ses contemporains à intégrer chaque aspect de leur vie à l’expérience méditative.


Trungpa Chögyam – Mandala

Selon le principe du mandala, trait distinctif du bouddhisme tantrique, tous les phénomènes font partie d’une seule et même réalité. Que les expériences que nous faisons soient bonnes ou mauvaises, heureuses ou tristes, claires ou obscures, elles s’inscrivent toutes dans une même totalité et la reflètent. Comme l’explique Chögyam Trungpa dans ce livre, selon la perspective du mandala, l’existence est un chaos ordonné. Le chaos et la confusion se produisent parce que les choses surgissent d’elles-mêmes, sans principe externe qui vienne y mettre de l’ordre ; en même temps, tout ce qui surgit est une expression d’ordre et d’intelligence, d’énergie éveillée et de précision. Les pratiques méditatives associées au principe du mandala nous font découvrir que les pôles de notre expérience – confusion et éveil, chaos et ordre, douleur et plaisir – ne sont que des éléments inséparables d’une vision totale de la réalité.


Trungpa Chögyam – Méditation en action

Méditation et Action par l’approche du sujet, le ton et une grande liberté doctrinale est un petit traité unique de méditation. Chacun qui le lira en gardera longtemps la saveur, même s’il n’en fait rien et finit par l’oublier…


Trungpa Chögyam – Née au Tibet

Pour la première fois, un jeune lama de haut rang raconte comment il a été découvert, intronisé, instruit, ordonné, puis contraint de fuir devant les Chinois. Né en 1939, il fut reconnu, à l’âge de 13 mois, comme la dixième incarnation de l’éminent Supérieur des monastères de Surmang dans le Tibet oriental. Le récit de son éducation religieuse, la description de ses maîtres spirituels nous transportent dans un monde qui nous paraît aussi éloigné dans le temps que dans l’espace. Lorsque les Chinois s’emparèrent des monastères, Trungpa Tulku, qui avait alors 19 ans, se cacha dans la vallée du Mystère, puis dans une caverne. Dans le but de continuer sa mission, autrement dit de transmettre l’enseignement qu’il avait reçu, il partit pour Lhassa. Cependant, ayant appris en chemin la fuite du Dalaï Lama, il se dirigea vers l’Inde. N’ayant au départ que neuf compagnons, ce furent bientôt trois cents personnes qui le suivirent. Après de nombreuses épreuves, ils ne furent que quatorze survivants à atteindre la frontière de l’Assam, neuf mois plus tard. Ce livre est un document exceptionnel tant dans le domaine de la spiritualité que dans celui de l’aventure. Sa sincérité et sa simplicité sont bouleversantes.


Trungpa Chögyam – Pour chaque moment de la vie

Chögyam Trungpa (1939-1987) est l’un des plus importants maîtres spirituels du xxe siècle, par sa capacité à ouvrir la sagesse qui réside en nous sans faire aucun compromis.

Dans un univers où chacun vise une maîtrise étendue à tous les domaines de la vie, Chögyam Trungpa dénonce, avec une vigueur sans pareille, l’inanité d’un tel projet. En ce sens son enseignement présente le coeur ardent de toute voie spirituelle – la nécessité d’un abandon sans condition pour que s’ouvre à nous un monde plus vivant. On sera alors sensible à la manière dont, dans sa bouche, la spiritualité prend un accent neuf, rarement entendu, tout en étant entièrement traditionnel.


Trungpa Chögyam – Pratique de la voie tibétaine – au dela du matérialisme spirituel

« Un certain nombre de voies de traverse conduisent à une version distordue, égocentrique, de la vie spirituelle. Nous pouvons nous illusionner en pensant que nous nous développons spirituellement, alors qu’en fait nous usons de techniques spirituelles pour renforcer notre ego. Cette distorsion fondamentale mérite le nom de matérialisme spirituel ». Ces enseignements ont fait connaître Chögyam Trungpa à l’Occident. Ils n’ont rien perdu de leur force d’attaque et de leur clarté clans l’exposition des principes de la voie bouddhiste. Le style pédagogique de l’auteur, inimitable et emprunt d’humour, a révolutionné la transmission du dharma.


Trungpa Chögyam – Regards sur l’Abhidharma

Sans rien négliger de l’intellect et de l’intuition, l’auteur nous initie à la genèse de la conscience. On peut dire que l’étude de l’Abhidharma est théorique en un sens, mais elle a aussi la saveur de ce qui est intime parce que la psychée humaine s’y trouve examinée. L’Abhidharma fait partie de la philosophie de base du bouddhisme, commune à toutes les écoles.


Trungpa Chögyam – Voyage sans fin

Lorsque nous parlons de la tradition tantrique, nous ne parlons pas de jouer avec la sexualité, l’agression, les couleurs du monde phénoménal. Les gens ont projeté beaucoup d’idées sur le vajrayana, telles qu’une expression de sauvagerie et de liberté. Cependant, la culture du vajrayana doit être basée sur des fondations très subtiles, définies, ordinaires et réelles. Sinon, nous sommes perdus. Les enseignements vajrayana revêtent un caractère éminemment sacré et, en un sens, ils sont inaccessibles. A travers les siècles, les pratiquants du tantra ont consacré énormément d’énergie et d’efforts à étudier cette discipline. Il est hors de question de permettre de laisser travestir ces études en marchandises de supermarché.


Tsang Nyön Heruka – Milarépa – La vie

Considéré comme une figure emblématique du Tibet, Milarépa (1040-1123), incarne à lui seul le poète, l’ascète, le maître spirituel. Il pratiqua d’abord la magie noire avant de devenir un être pleinement réalisé. Ce récit de sa vie rédigé par Tsang Nyôn Heruka au XIVe siècle, après trois siècles de tradition orale, raconte les événements qui l’ont mené du crime à l’éveil. Ce sont pour commencer des histoires de famille, sur fond de jalousies et de vengeances. Puis une rencontre, celle de Marpa, le maître, qui lui infligera d’éprouvantes épreuves avant de lui accorder les enseignements du bouddhisme tantrique.
Il s’agit d’un document littéraire et spirituel exceptionnel qui témoigne aussi de l’organisation sociale et des conditions de vie dans le Tibet des XIe et XIIe siècles.
Cette histoire d’une vie excède de loin son époque, elle offre à chacun l’occasion de s’y retrouver à un moment où à un autre, de s’identifier à l’un ou l’autre des personnages .


Wangyal – Tulkou Pema – Bodhicitta (l’esprit d’eveil)

Bodhicitta, l’«esprit d’Éveil », qui désigne la sagesse de l’amour et de la compassion, est le but ultime de tous les véhicules enseignés par le Bouddha dans les soutras et les tantras. Cet «esprit » présente un aspect absolu : la vacuité; et un aspect relatif : le vœu d’atteindre l’omniscience de la bouddhéité pour mieux servir tous les êtres animés sans la moindre exception. Cette aspiration s’approfondit dans la méditation de l’amour, la compassion, la joie et l’équanimité. L’action qu’entraîne l’intimité profonde avec ces sentiments impartiaux et illimités se trouve tout entière dans les six vertus transcendantes de l’«être d’Éveil » ou bodhisattva. Et c’est la connaissance transcendante (prajñaparamita) elle-même qui plonge l’être d’Éveil dans l’esprit d’Éveil absolu, l’indicible espace de la claire vacuité à cœur de compassion. L’esprit d’Éveil est donc le plus précieux de tous les joyaux spirituels. On en trouvera ici l’exposé vivant et précis par l’un des héraults les plus convaincants de la pensée et de la pratique de la bonté du cœur, la bonté pure. Héritier accompli de maintes traditions du bouddhisme tibétain, Péma Wangyal Rinpoché incarne avec douceur et persuasion les six vertus transcendantes et, recourant aux quatre attraits du bodhisattva, c’est avec des paroles amènes et des exemples choisis qu’il expose la vérité essentielle de la compassion, en détaille l’exercice pour chacun et agit conformément à ce qu’il dit.


Wijayaratna Môhan – Sermons du bouddha

Après les Entretiens du Bouddha, voici le second volume des enseignements authentiques du Bouddha, traduits et présentés par un des meilleurs spécialistes du bouddhisme d’après le canon en pali, la langue parlée par le Bouddha. Ces préceptes furent recueillis et transmis oralement au Ve siècle avant J. -C. , puis consignés par écrit quelques siècles plus tard. Le message du Bouddha est révolutionnaire et le demeure à ce jour : il propose non seulement une éthique transcendant la religion sacrificielle védique, mais aussi une logique qui s’appuie sur une analyse détaillée du fonctionnement de l’esprit humain. La connaissance de ce recueil des sermons du Bouddha est tout aussi recommandable que l’entrée dans la pratique de la méditation sous la conduite d’un maître.


Yogi ling éditions – Hagiographie de Nigouma et Soukhasiddhi


Yogi ling éditions – Manuel de retraite de Djamgoeun kongtrul


Yongey Mingyour Rinpotché – bonheur de la méditation

Dans cet ouvrage, unique en son genre, Yongey Mingyour Rinpotché, un grand maître tibétain, révèle les bienfaits réels de la méditation, en établissant un pont entre les enseignements du bouddhisme et les découvertes les plus récentes de la science, et plus particulièrement des neurosciences. L’auteur expose l’essence de cette tradition millénaire de façon entièrement nouvelle et adaptée aux particularités de notre culture moderne. Grâce à de nombreux exemples, il nous dévoile que de simples exercices quotidiens de méditation (au bureau, dans le métro ou même dans la rue !), consistant à laisser aller et venir nos pensées sans y attacher d’importance mais sans les rejeter non plus, peuvent changer notre vision du monde et répondre à nos préoccupations essentielles